J'ouvre une nouvelle page pour mettre un message mais en fait je sais plus quoi dire...

Fiou fiou ^-^Ca crain...

Enfin je vais essayer de mettre un petit bla bla quand même. J'ai bien les bla bla qui disent rien en fait, ou peut être pas...

Plus qu'une semaine de cours et aprés je suis en stage :/ pffff j'ai pas vraiment envie, je suis pas motivé a me lever tout les matins a 5h, déjà que je dors mal en se moment alors la je vai etre fracas. Surtout que j'aurais encore une 40éne de minutes de marches à chaque fois.... Fiou fiou =_=

Enfin le stress des évaluations succesive est passé, quoi que je vais avoir une MSP pendant le stage et je sais pas du tout se que ça donnera. Mais autant pas y penser tout de suite ça sert a rien.


Je suis aussi en train de chercher un lieu sympa pour mon stage de cet été. Je suis en théme libre et si les 2 MSP se passent bien je pourrais allé dans la ville que je veux. Enfin la je recherche dans le sud, vu que j'ai personne pour m'héberger sur paris, qui qui se propose? Il y avait des tas de lieu sympa a paris, mais bon... Tant pis, je verrais quand j'aurais mon diplome au pire...

n_n En tout cas je sais pas trop où m'orienter pour mon stage! J'ai le choix donc autant en profiter, faire un truc où je pourrais pas allé pendant ma formation. Soit parce qu'on nous le propose pas, soit parce que par ici il n'y a pas les structure.

Donc pour le moment je surf sur le net a la recherche d'adresse et de lieux qui pourraient être sympa pour un stage. Pour le moment j'ai trouvé un hopital qui avait une structure en pedopsy... Aprés j'ai trouvé un truc de nutrition, maladies metabolique et endocrinologie. Et puis le centre pour ado de marseille.

Enfin je me dis qu'en étant en 1er année j'ai plus de chance a avoir des réponse négative plutot que positive, voir carément pas de réponse... C'est se qui se passe le plus souvent quand j'envois mes lettres pour demander un stage.

Mais bon, je me tracasse pas trop, au pire je prendrais le stage qu'ils me proposeraient par ici, quitte a passé l'été toute seule chez moi a tourné en rond et me faire chier.


Aprés une reprise intense en revision et cours d'ortho sur cours d'ortho sans répos, suivit d'une évaluation qui a eu lieu se matin, on a eu droit a une petite aprés midi plus ou moins tranquille.

Les formateur ont décider de nous projetter le film "le scaphandre et le papillon." Le film tiré du livre. L'histoire se passe chez "nous" à Berck alors autant en profiter et s'informer en même temps sur le syndrome et les pensées des patients qui l'on.


Le 8 décembre 1995, un accident vasculaire brutal a plongé Jean-Dominique Bauby, journaliste et père de deux enfants, dans un coma profond. Quand il en sortit, toutes ses fonctions motrices étaient détériorées. Atteint de ce que la médecine appelle le "locked-in syndrome", il ne pouvait plus bouger, parler ni même respirer sans assistance.Dans ce corps inerte, seul un oeil bouge. Cet oeil, devient son lien avec le monde, avec les autres, avec la vie. Il cligne une fois pour dire "oui", deux fois pour dire "non". Avec son oeil, il arrête l'attention de son visiteur sur les lettres de l'alphabet qu'on lui dicte et forme des mots, des phrases, des pages entières...Avec son oeil, il écrit ce livre, Le Scaphandre et le papillon, dont chaque matin pendant des semaines, il a mémorisé les phrases avant de les dicter...
Le film est "long" pour certain et ça a l'air de les souler plus ou moins. Personnellement j'aurais préféré lire le livre avant mais se n'est pas bien grave. Le film est vraiment super bien fait. On a la vision du patient, ces pensées en voie off et on peut voir le comportement des soignants et proche.
C'est étonnant de savoir qu'avant que se livre soit écrit on traité les patient ayant se syndrome comme des "personne" en coma végétatif, qui pensent pas ni rien, donc c'était rare de leur parlé et autre. Déjà dans le film ils ont pas un comportement forcement géniale, mais bon...
Ca donne de quoi réfélchir je trouve se genre de chose. C'est vrai que dans la sistuation des patients parfois les discutions où questions peuvent être vu comme stupide, c'est vrai qu'elle interet de rentré et lancé un "comment ca va aujourd'hui" comment ca peut allé au juste quand on garde sa mémoire, sa conscience mais qu'on ne peut ni bouger, ni s'exprimer?
Le locked-in syndrome, ou LIS, est un état neurologique rare qui pose un problème médical, économique, mais surtout humain. Le patient est éveillé et totalement conscient, il voit tout, il entend tout mais ne peut plus ni bouger ni parler en raison d'une paralysie complète exceptée le mouvement des paupières. Les facultés cognitives du sujet sont intactes d'où le nom de locked-in syndrome ou syndrome d'enfermement. Le locked-in syndrome est consécutif à un accident vasculaire cérébral.
Les patients LIS sont pleinement conscients de leur corps et de leur environnement. Bien que n'ayant pas ou peu de contrôle sur leurs membres, ils peuvent les situer avec exactitude dans l'espace, et contrairement aux patients paralysés suite à une atteinte de la moelle épinière, ressentent encore le toucher et la douleur.
En tout cas à fait réfléchir. Quand j'aurais un peu plus de temps j'essairais de trouvé le livre. On ressent toujours plus les sentiments de la personne en lisant.

Je suis tomber sur un forum super interaissant.
Enfin c'été pas du au hasard, j'ai récupéré plusieurs membres de se forum sur le mien qui m'ont parlé de l'ambiance sur l'autre et tout.
Bien sur certain modo son passé sur le mien (par jalousie surement) car les membres leur on fait la pub en disant tout se qui allé pas sur leur forum et autre, donc les modo et admin son passé essayé de fouttre la merde.
Z'avé vu comme c'est puérille et enfantin quand meme, les histoire de primaires voir college y ressemblent fortement ^_^
J'ai donc demandé l'adresse aux membre venu demander asile sur mon forum (vi vi vous comprendrez aprés) et je' suis allé y faire un tour en observation et pour m'amuser un peu.
Le théme du forum, entraide, évidement... Je fais donc une jolie présentation, ou j'amplifie quelque trucs (ben vi elles marches toutes comme ca la plupart du temps les minette sur les forum) donc j'amplifie quelque truc, quelque truc sont réel et d'autre totalement inventé. La presentation finit j'ai donc eu un super accueuil, entre guillement bien sur.
J'ai été surfer sur les diverses rubriques. Et je lis des trucs vraiment absurde. Le genre je met de la bétadine sur une brulure, cool, je vais donc expliqué vite fait les geste de premier soins par rapport a une brulure, et autre. Et sur un autre article je vois une putain de banalisation, le genre "j'ai peur j'ai plus de sensibilité la ou jme suis blessser" et un autre membre qui sort "ouais cpo grave tu a juste sectionné un nerf en te tailladant tu t'habitura ca arrive tout le temps" o_o donc j'y vais et je dis que je trouve ca choquant de banalisé ainsi une tel chose que si ca aurait été un tendon ou autre ils auraient fait la meme réplique "ta fusillé un tendon cpo grave tu t'habitura"
Franchement! Non quand meme c'est quoi se délire.

Et la grande surprise...Je me fait insulté. Parce que je comprend rien, que je prend tout le monde de haut en disant que la bétadine n'est pas l'idéale et conseillant sur les premiers soins, que je suis trop conne d'etre choquer par rapport a l'autre, que c'est normale et pas choquant et autre.
Bien sur j'argumente, je discute, donne mon avis et expose mes connaissance, parle des risques d'infections, et tout se qui pourrait aggraver une mauvaise asceptie ou manip.
On me sort qu'on meurt pas en se tailladant le poignet. o_o
Et la je reléve, évidement, comment on pourrait pas relever quand ils pensent des truc aussi absurde.
On meurt en se tailladant n'importe où du moment que c'est assez profond et pas prit en charge.
Je sort donc mes cours d'anatomie et autre.
Evidement je suis qu'une pauvre conne qui pige rien et juge tout le monde!
o_o
Doublement choqué, en quoi c'est juger d'essayé d'expliquer les risques et les gestes qui peuvent aider?
Donc la ya foulle dans les 2post, bien sur je m'en prend plein la gueule, aucun comprend rien.
Je reste zen une periode quadn meme.
J'été au courant de l'ambiance et savait qu'ils se passé souvent se genre de truc.
On me dit de fermé ma gueule, que je suis qu'une nouvelle qui a pas son mot a dire et doit s'integré. Je citerasi pas toute les insulte mais quand une "femme" (entre guillemet quand meme parce qu'elle avait pas la mentalité qui suivé) de 29ans me dit de me la fermé et d'allé creuvé et autre en disant qu'elle est assez mature pour savori quoi faire avce une brulure et autre que je devrait me la fermé et autre...La je péte un cable...
Ma zen attitude disparait.
Elle disparait par rapport a leur insultes mais aussi leur attitude, ca les eclate. Ils passent un super moment a m'insulter et agir ainsi.

Je ne dirais pas tout se que j'ai pu leur balancé... La plupart été surement trop évoluer poru eux d'ailleurs.
Je connasissait l'ambiance comme j'ai dit...J'ai pas vraiment agit pour passé inapercu, mais j'ai pas juger ni rien, quand j'ai vu que ca parté en biberine et que le ton monté de l'autre coté j'ai rien fait pour baissé les tensions... Non ej suis pas maso mais pour exposer mon coté sadique et voir jusqu'ou ca pouvé allé j'ai été maso une periode pour renverser la tendance aprés.
Seule contre tous!! Yahouuuu!!
La stupidité humaine peut allé trés loin...
Mais vous savez se qu'est le plus choquant. C'est que lorsque j'ai commencer am'enerver est envoyé chier ceux qui m'envoyé chier, ben etrangement, les modo sencé etre la pour gerer et tout, se sont mis a m'insulter encore plus et me dire de me calmé et autre.
o_o
Houla a plus rien comprendre.
J'ai donc relever, ouais ouais...Eux peuvent s'exiter sur un membres nouveau sur le forum, l'insulter et autre, mais lorsqu'on inverse la tendance et qu'ils se retrouve de l'autre coté, ben c'est grave, on a pas le droit de gueuler et de critiquer et autre. Nous on peu pas quoi et eux ils peuvent....
C'est quoi se délire, si ca marche dans un sens ca devrait allé dans l'autre.
ON me dit qu'il y a des régles et qu'ils faut les respecter, respecter les autres membres et autre.
J'ai fait...Au début...J'ai plus fait quand les autres se sont cru tout permis.


Je prend donc note et m'interroge.
Je me dis ok moi j'été au courant de l'ambiance.
Ok j'ai rien fait pour arranger les choses aprés.
Ok j'ai pas déco ni rien et poursuivit en balancant de l'huile sur le feu et titillant aprés les zone sensible pour voir jusqu'où ca pouvait allé et en combien de temps on pouvait y allé.
Mais mais...Parce qu'il y a un mais....
Ca aurait été quelqu'un d'autre?
Quelqu'un qui va mal?
Quelqu'un au fond du gouffre? Quelqu'un qui en peu plus et venait cherché aide zet soutien et partager son experience et autre.
Ca aurait été quelqu'un d'autre quoi, pas au courant ni rien de se qu'il se passé aprés.
Qu'est se qu'il se serait passé, comment aurait réagit cette autre et tout.


Bref... J'y retourne le lendemain voir un peu les post qu'il y a eu sur cette histoire.
Les insultes sont toujours la et ils en discute entre eux.
EUX les super gentille, EUX les membres de la communauté super agréable et super cool....
Bref...
Je suis une intru mais ca les a bien eclater et ils remettent ca quand ils veulent avec moi.
Certains on dormis comme des bébé grace a ca, d'autre on ignoré leur lame pour le soir.
o_o
Choquant quand meme.
Ils se disent etre un forum d'entraide, ou on peu parlé, se confier, avoir confiance et tout, ils disent avir des regle et tout et au final quoi? Les regles marchent pas pour eux parce qu'ils sont surpuissant et autre et les nouveau sont prit pour cible pour soulager les autres.
J'avais jamais entendu parlé de se genre d'entraide... o_°
On prend le nouveau, on le linche, on s'eclate, rigole et autre a faire souffrir l'autre, l'insultant et tout et tout...
Commebnt peut on s'éclater a agir ainsi.
Etre aussi violent envers l'autre, sans raison adapté ni rien, juste par pur plaisir, pour s'éclater et autre.
Comment peut on agir ainsi en hurlant sur tout les toti des phrases type du genre "ca va paaaaasss jvé me fouttre en l'air j'en peu plus je souffre, les autres sont mechant" et autre débilité dans le genre....
Ils disent que les autres les juges, les traite de fou, les regarde de travers et autre. Que ca les fait souffrir et autre toute cette mechanceté et tout.
Et au final quoi? Ils agissent pareil en se vantant aprés et dire qu'ils adorent l'agréssivité gratuite!
o_o

Ou va le monde au juste?

Un extrait des 2 châpitre que j'ai écrit dans mon book par rapport a internet et tout... Mon book est protegé alors essayé pas de piquer mes textes ou poémes...
Chapitre 9 => Internet :

Lorsque j’ai voulu un peu comprendre se que je faisais j’ai fait quelques recherches personnelle. Je me suis mise sur l’ordinateur et j’ai commencé en tapant diverse mot dans un moteur de recherche : taillade, coupures, auto coupures, se blesser sois même… j’ai finis par tomber sur un petit article écrit par le corbeau blanc en tapant auto mutilation. A la fin du message il y avait un lien vers un forum qui parlait du sujet.
J’ai mis du temps avant de taper mon premier message. Je me suis présenté et j’ai été accueilli très chaleureusement par les membres. J’ai lu tout les anciens messages afin d’un peu mieux les connaître et de m’informer sur le sujet. Au départ on été un très petit comité. C’était convivial et très sympa comme ambiance. Très vite il y eu de nombreux nouveau membres, plus ou moins jeunes. J’étais étonné qu’autant de monde puisse vivre la même chose, ou du moins se taillader. On en parlé, se soutenais pour allé mieux. Petit a petit j’ai commencé à comprendre.
Pouvoir échanger nos expériences, parlé de notre souffrance, de se qu’on peut vivre à l’extérieur, parlé de ses proches, de nos peurs… lorsque les gens vivent ou on vécu la même chose ça aide vraiment beaucoup. On se sent écouter et compris. Je me sentais beaucoup moins seule face à ça.
Sur se forum j’ai fait plusieurs rencontre. La première personne fût Azerty. Une fille qui habite Bordeaux. On a commencé par discuté sur le chat du forum les soirs d’été vers une heure du matin jusqu'à parfois cinq voir six heures. On parlé de nous, de nos problèmes, nos parents, le lycée et très vite on s’est pris des fou rire ensemble.
Après se fût avec Xolena. Je l’ai rentré dans mes contacts msn, car je trouvais que son pseudo ressemblais étrangement au mien. On à parlais et bizarrement encore des que je posais une question et qu’elle y répondait en ajoutant et toi je disais moi aussi et vice versa. On a toute deux cru d’ailleurs que l’autre se moquait de nous et puis non. Toute deux en SMS, en première, avec un style plus ou moins goth, aimant le rock et métal. Et des tas d’autre point commun. Seul différence c’est avec la nourriture, moi se n’est pas assez et elle s’est trop.
Il y a bien eu d’autre rencontre mais jamais comme ces deux la. Je l’ai apprécie énormément. On parle de tout de rien. On peut partir sur des sujets philosophiques comme sur des délires complètement gamins. Parlé de nos vie aussi. On s’écoute, ne se juge pas, on est sincère et j’ai une confiance aveugle en elles.
Vers la fin, le forum à commencer à un peu tourné au vinaigre. La web master en avait un peu marre, si on peut dire, de voir l’état des membres. Elle avait crée le forum pour aider et soutenir et certain se fiché pas mal des règle, venaient pour pleuré et agresser les modérateur des que quelque chose n’allait pas. Le site n’était pas conçu pour donné des aides pour allé encore plus mal ou mieux se suicider comme certain l’imaginer. Alors ils n’apprécier pas quand des message était censuré.
On à pu constater aussi que certain membres allé mal à cause du forum, a force de lire la souffrance des autres, cela amplifié leur souffrance. Cela attristé aussi la web master de voir des membres de plus en plus jeune pensait a l mort. La plus jeune (la petite du forum qu’on on l’appelait) avait 14ans.
Les plus ancien membre lui on proposer leur aide et je fût nommer modérateur avec d’autre amis. On surveiller les sujets, censuré parfois, surtout lorsqu’il y avait des description trop poussé, du style les centimètre des coupure ou le poids pour les article posté dans TCA ou encore des images trop violente.
Le forum à durer encore un peu avec notre surveillance, mais au bout d’un an la web master nous a informer qu’elle fermé le forum qu’elle ne voulait plus et ne pouvait plus le gérer, et qu’elle ne voulait pas être la fautive de suicide ou autre en ayant crée se site.
Aujourd’hui on tombe sur tout genre de blog ou de forum qui parle de l’AM. D’un côté se n’est pas plus mal de ne pas garder le sujet tabou mais cela dépend de la manière dont on en parle. Certaine fois c’est choquant, même pour moi qui le fais. En parlé est une chose, mais mettre des description beaucoup trop poussé peuvent être dur, encore plus s’il y a les images qui vont avec.
Je pense qu’on peut très bien en parlé sans pour autant donné une preuve ou mettre des images sanglante à coté. Et lorsque je vois des gens qui disent être fière d’eux en exposant leur bras en sang comme des trophées, ça me donne envie de vomir et en même temps d’hurler ! Comment peut-on être fière de se blesser, d’avoir un corps massacré. Avec se discours et ces photos, comment ne pas être considéré comme « fou » par les gens qui en le pratique pas. Je pense qu’il faut en parlé, suffisamment pour être compris mais éviter les détails ou photo pour ne pas choqué.
Il y a aussi tout ces blog de « pseudo goth. » le genre qui parle suicide dans tout les article, qui met des image glauque, c'est pathétique à force, c’est le genre d'image qu'on trouve de partout, ils se croient original, ils pensent, être intéressant, marre de voir les gens parler des scarification en disant que c'est "Goth". C’est le style, « wé c'est cool je me scarifie j'aime Manson », je suis goth je m'habille en noir et me maquille en noir!!! Personnellement je n'associe pas le fait de se blesser au gothisme....
Mais sur ces forum ou blog c’est le style je me scarifie pour le fun, pour faire style je suis goth et compagnie ça me fou la rage! Le "mes amis le fond je trouve ça cool je trouve, c’est trop beau ! » Qu'est ce qu'il y a de beau à avoir les bras mutilé? A ne pas pouvoir se mettre en débardeur l'été a cause de cicatrice trop moche ou pas encore cicatrisé? Parfois il y en à même qui disent le faire entre amis lors de soirée. Ils sont en compétitions pour voir qui en fera le plus ou qui aura le plus de point de sutures.
Qu’est ce qu’il y a de fun a faire ça ? Merde ! Je souffre de le faire, je le fais parce que je souffre, quel paradoxe ! Le serpent se mord la queue c’est une boucle sans fin, mais le serpent doit avoir faim puisqu’il se mord la queue assez souvent.
Je déprime de voir de plus en plus de jeune le faire, et de les entendre en parlé, comme si c’été un phénomène de mode, un critère de sélection, comme si on allé les trouvé cool ou apporté plus d’importance parce qu’ils font ça, qu’ils montrent des photos de leur bras massacré en disant voila se que j’ai fait hier soir !
Pour moi les personnes qui font ça se complaisent dans leur problème, d’ailleurs ils ne le voient pas comme un problème puisque pour eux c’est cool ! Mais c’est a cause de gens comme ça que ceux qui se blesse a cause d’un mal être profond, à cause d’un problème réel, c’est a cause d’eux que se problème et mal vu, que les gens nous considère comme des « petit con qui cherchent qu’a attiré l’attention »
Je ne suis pas comme ça ! J’essaie de m’en sortir, j’en parle pour trouver une solution, pour libéré mon mal être par l’écrit sur papier et non sur mon corps, je cherche à aider et non à enfoncé les gens qui fond ça.... On est déjà mal alors quel intérêt de mettre des images où on voit quelqu’un dans une baignoire de sang, quelqu’un avec la tête exploser, quelqu’un… N’y a t-il pas d’autre image à mettre ? Je me révolte un peu toute seule mais ça m’énerve !
Personnellement je ne suis pas vraiment fière de se que j’ai/je fais. J’ai plutôt honte de moi, c’est peut être pour cela que j’en parle rarement. J’évite aussi de culpabiliser. Je ne peux pas remonter le temps et effacer les traces. Je me dis qu’a un moment donné je n’ai trouvé que ça pour allé mieux, du moins je le pensé. J’étais au fond du gouffre et préférais me blesser. Je préfère aider les gens, c’est plus simple, aussi bien ceux qui le font comme les proches qui cherchent à comprendre.

C’est aussi sur Internet que j’ai fait la pire connerie que je puisse faire. C’était à la fin de ma seconde, j’étais presque tout le temps sur le chat de caramail. Je discuté de tout et de n’importe quoi. Mais je cherchais plutôt des gens qui vivaient un peu comme moi. Donc je traînais le plus souvent sur les salons comme déprime ou suicide. Un soir je parlais avec une fille vraiment super. On parlait de nos « tripes » et à un moment je lui ai dis que parfois la visions des ciseaux ou du cutter n’était pas qu’une vision et que ça m’arrivais de me blesser. Elle m’a avoué qu’elle aussi ça lui arrivé de faire pareil. On a donc discuté de ça et de la mort. Ensuite elle m’a dit que c’été un peu morbide comme conversation et j’ai approuvé. On à donc changer de sujet et on est partie sur des thèmes beaucoup plus banal. Comme la musique, les films et le lycée. Bizarrement on été au même lycée et quand j’ai demandé qu’elle option elle avait pris elle m’a répondu qu’elle était en seconde SMS. Aïe ! Le choc ! Quand on à su qu’on été dans la même classe on ne savait plus du tout quoi dire. Elle m’a dit de ne pas le répété et je lui ai demandé la même chose, j’ai finit par trouvé une excuse bidon pour me déconnecter et partir dans ma chambre.
Je stress, je ne peut pas m’empêcher de trembler. C’été la première personne à qui j’en parlais et il fallais que se soit une fille dans la même classe que moi. J’allais la croiser tous les jours même plus que la croisé. Je n’ai pas une grande affinité avec cette fille mais quand même. C’est lourd à savoir, que se soit pour moi ou pour elle. D’un coté toute d’eux ne voulons pas que ça se sache alors il n’y à aucun intérêt à allé en parlé a qui que se soit, de toute façon je ne voit pas trop à qui je pourrais le dire.
J’ai stressais toute la nuit. J’ai cogité sur tout les scénario possible et imaginable. Impossible de trouver le sommeil avec cette boule au fond de ma gorge. Je me posais beaucoup trop de questions et angoisser à l’idée d’être demain. J’ai finis par me demander si c’été une bonne chose d’allé en cours ou pas…
Le lendemain matin tant bien que mal je me lève et part au lycée. En fin de compte ça s’est passé comme tous les jours. Avec la fille on s’est à peine dit « salut » et après ça on n’en a plus jamais reparlé que se soit sur le net ou dans la vie.
Néanmoins c’est elle par la suite qui à dit à Angie lorsqu’on était en première que je me taillader. Angie s’inquiété que je ne mangeais rien à midi et essayée d’en parlé à Julia et Hélène en leur disant que c’était étrange :
« Vous ne trouvez pas ça étranges ? Et puis elle est blanche et moi je trouve qu’elle à maigri »
Bref… la fille lui a dit :
« Mais t’es pas au courant qu’elle se scarifie »
Que je n’aime pas se terme… peut être que ça m’a évité d’aborder le sujet la première avec elles. Quoi que…Elles ne m’en ont jamais vraiment parlé par la suite.

Chapitre 62 => Internet 2 :


Quand je pense qu'au début lorsque j'essayais de faire des recherche sur les problémes de l'automutilation j'avais rien trouvé, et qu'aujourd'hui il y a des tas de blog et forum qui traite le sujet ça me fais un peu peur. Ok, il y a plus de facilité pour se confier car c'est anonyme, c'est par écrit, on n'a pas le regard des autres... Mais on peu se demander si c'est une bonne chose, si justement les autres n'aurait pas tendance a tombé dans le piége par immitation ou pour rentré dans un groupe, le genre ado qui va mal et veux se suicider.
On peut se poser des questions. Surtout lorsque je vois les blog des ado de 13-14 ans, avec des photos plutôt gore, le genre déprime 24h/24 où tout est noir tout est moche. Parfois les problémes sont amplifier, parfois même inventer pour faire mieux. Parce que le genre "j'ai essayé de me trancher les veines avec une feuille de papier" ou encore "avec une fausse lame en plastique" je l'ai déjà vu, c'est risible parfois. Fausse TS, faux viole, fausse perte d'un proche... Pour quoi? Attiré l'attention, trouvé un soutiens, trouver de la sympathie, de l'amour. Sauf que voila, quand quelqu'un essais de les aider a sortir du trou, de leur ouvrir les yeux, les soutenir, les aider en donnant des adresses et conseil, la ils se font envoyer baladé. C'est souvent "j'aime ma vie comme ca alors fou moi la paix!" Alors si ils aiment leur vie comme ça pourquoi se plaindre a longueur de journée? Pourquoi crié au loup s'il n'y a rien derriére? Est ce devenu un phénoméne de mode?
Il y en a d'autre aussi qui le cri sur tout les toit, qui exposent leur bras massacré, soit a peine cicatrisé soit encore en sang, qui montre se qu'ils écrivent avec leur sang en disant que c'est "trop fun" "trop beau" et les autres qui passe et disent "waou trop cool!" Comment ça peut etre cool? Comment ca peu etre beau? On peu allé mal mais aprés il y en a qui rentre dans un genre de compétition, a celui qui aura le plus de plaies, le plus profond, le plus moche, celui qui se fera hospitalisé le plus, le plus longtemps et autre conerie dans le genre. Parlé pour s'enfoncer vers le bas n'aide vraiment pas. C'est pour ça aussi que les personnes qui surf nous prennent pour fou ou ne nous comprenne pas, comment pourait t'on comprendre ceux qui le font parce qu'ils souffrent vraiment en lisant se genre de chose? Normale aprés que les personnes banalise et ne prennent plus la souffrance en compte, parce qu'aprés c'est "bah façon c'est a la mode en se moment c'est juste pour faire son interaissant" et donc il n'est plus écouter, plus aider. J'ai du mal a imaginer que certaines personnes voit ça comme un jeu. On a l'impression que ça leur plait de paraitre pour la folle de service, d'exiber leur plaies pour le soir dire "Oh mon dieu, toute a leur bidule la copine a machin a vu mes marques et m'a fait une réfléxion mechante je comprend pas pourquoi personne ne m'aime, pourquoi on m'écoute pas..." Toutes les personnes que j'ai connu faisait tout pour camoufler, aussi bien leur marques, que leur souffrance, se cacher derriére un sourir, derriére des délires stupide. Le camouflage deviens une veritable obsession dans se genre de situation, parce qu'on a trop peur, trop honte, trop de culpabilité. Ils ne vont pas se balader librement en debardeur et exposé leur bras a qui veut bien les voir. Ni laisser des mouchoir remplis de sang ou des cutter dans leur chambre à la vu de tout le monde. A moins bien sur de vouloir attiré l'attention, que quelqu'un remarque leu souffrance et viennent leur parlé, mais la la personne qui souffre réelement trouvera enfin une ouverture et n'ira pas envoyé chier l'autre en disant qu'elle aime souffrir, déprimé et autre connerie dans le genre. Car les personne qui s'amuse ainsi ne peuvent pas s'imaginer le mal qu'elles font a leur entourage, famille, amis et autre et ne s'imagine même pas que c'est un réel probléme, qu'elles peuvent finir hospitalisé ou suivis par un psychiatre et que les cicatrices resteront toute leur vie sur elle. Donc aprés ça engendrera des problémes dans la vie de couple voir professionnel. Car le doute restera toujours.
On peut en parlé je ne dis pas, avoir son coin reservé pour vider son sac, dire se qui ne va pas, pousser son coup de gueule et autre. Mais aprés il y en a toujours qui me disent lorsque je leur demande des nouvelle sur leur blog "ben non j'écris plus parce que ca va et ici c'est juste quand je déprime" et pourquoi on pourrait pas voir quand ils vont bien? Mettre justement des article avec un peu déspoir, montré que parfois dans leur vie il y a des bons moments.
Les blog peuvent être vu comme une bouteille dans la mer, ou plutot dans la toile. On dit souvent que l'écriture est un cris muet, je fait souvent le jeu de mot avec l'écrivain et les cris vain. Au final a quoi sert un blog? A part se vider, s'exprimer un petit peu, parfois être trouvé, etre lu, avoir des réponses, un soutien. Encore faut il vouloir s'en sortir et ne pas s'apitoyer sur son sort.
Beaucoup aprés disent vouloir aider, donne des stratégie de remplacement pour éviter de se couper ou de se blesser, mais qui au final reste de l'automutilation, même si ça ne laisse pas de marque, le but est le même la personne se blesse. Donc en quoi ça remplace? Il n'y a pas de reméde miracle pour s'en sortir, déjà il faut accepter avoir un probléme et vouloir s'en sortir, aprés il faut parlé, exteriorisé tout se qu'on ressent, car la plupart des personnes qui se blesse le font parce qu'elle ne savent pas comment communiquer leur mal être. Donc en parlé, l'écrire, le dessiner... Si c'est pour se défouler autant allé faire du sport, crié un bon coup ou autre (sans se faire du mal bien sur.)
Sur certain forum aprés on peu voir certain membre qui cherche le respect des autres parce qu'ils ont fait x TS et autre (on peu en revenir a la compétition.) Quel interet au juste? Pourquoi il devrait y avoir un degré de souffrance, la personne qui a fait x TS souffrira t'elle plus que celle qui n'a jamais osé passé a l'acte? Qu'on se soit fait juste de fines entailles qui ressemble a des griffes de chat et partiront dans les jours suivant sans laisser de traces, au blessures necessitant des points de suture, l'acte reste le même. La personne va mal et finit par exploser et retourné tout ça contre elle. On ne peut pas mettre de degré a la souffrance, c'est subjectif, comme je l'ai dit autant on peu pleuré toute les larmes de son corps autant on peu paraitre insensible, on ne peu pas savoir se qu'il se passe dans la tête de l'autre en face de nous. La personne souffre, et en venir à se blesser volontairement relévent d'un mal être profond.
On avance tous a un moment ou a un autre, a notre rythme, parfois assez vite d'autre fois on croirais ne plus bouger, mais on avance tout le temps...Parfois c'est bien de pensé au positif de la journée au lieu de dire tout le temps se qui va pas et se plaindre a chaque fois. Pensé a se qu'on aime et se fixé des objectifs, meme si parfois son arrive pas a y pensé se forcé un petit peu peu aidé.
Je pense qu'on est seul maitre de sa vie et de son destin. C'est a nous de décider quelle vie on veu et de se construir notre bonheur, de vivre se qu'on a décider. Rien n'arrive d'un coup de baguette magique, il faut se battre pour obtenir se qu'on souhaite et se battre encore pour reussir a le garder.
A toujours pensé et voir en noir on finit par croire que la vie est comme ca, la vie est pourri certe mais aprés tout c'est parce qu'on l'ai aussi d'un certain coté. Quel interet de chialer et se plaindre sur le net si dans la vrai vie on fait rien pour en discuter et s'en sortir, si on fait pas le premier pas, vers un ami, un professionnel et autre. Si on cherche pas au fond a s'en sortir, et qu'on envois chier tout ceux qui peuvent nous aider ??

C'est pas en l'espace de 2 mois que les mentalités vont évoluer. Passer un certain cap on peu plus vraiment esperé que ça change. Et c'est el cas pour beaucoup d'éléve de l'IFSI. J'ai crisé interieurement des le début quand j'entendais une pseudo amie me raconter son stage. Elle était en gériatrie. Et "nia nia nia c'été chiant et j'ai fait que laver les gens. Et a chaque fois on me demandé de faire des truc alors que c'été pas mes patients, alors moi quand je passais et que le patient me demandé si c'été le boulot de l'aide soignante je lui disais de bipé l'aide soignante". Non mais c'est quoi ce délire au juste ? o_o Elle oublie un peu qu'a la base le role de l'aide soignante c'est le role propre de l'infirmiére qu'elle délégue juste a l'AS. Je cris etoujours quand j'entend des gens parlé comme ca, encore plus quand elles sont éléves. Ok je suis éléve aussi, mais je savais trés bien qu'a la plupart des stages on se fait exploiter. Mais d'un coté on va pas dire non, ca nosu fait apprendre et voire des trucs.
Et il y a le trio des abrutis. Ceux qui se sont inscrit au BDE (bureau des étudiants) pour organisé les fête et aider, et qu'ils trouvent c marrant de mettre de l'alcool dans les verres de ceux qui demande des truc sans. Qui trouvent ca marrant de se bourré la gueule meme si on conduit... Il font quoi déjà eux a par les con? Ah vi! C'est vrai il sont avec moi dans la promo. Comment les oublier ils ont décider de squatter les table juste a coté de moi. Et ces table se rapproche tellement a chaque fois que j'ai l'impression qu'un jour je me ferait étouffer a cause d'elles. Mais on s'en fou des tables. Ces les mecs qui y sont qui sont chiant. Toujours a discuter, a balancé des conneries qui font rire qu'eux, a manger leurs biscuits en plein milieu du cours avec leur coca ou autre boisson. A raler toujours pour leur clope (meme si on est sortit 15min avant a la pause) ... Le bordel ça pourrait passé (et encore que ca me tape sur le systéme a force) mais quand j'entend leur connerie parfois j'ai envie de leur gueuler dessus. Du style a se prendre un fou rire lorsque l'intervenant (c'est a dire un medecin avec pas mal d'experience quand meme) nous parle du syndrome du membre fantome (sentir le membre et avoir des douleurs alors qu'il est amputé pour les ignorants) Enfin vous admetrez surement que c'est pas vraiment un sujet trés drôle. Surtout pour la personne qui sait qu'elle est amputé et tout le reste. On va pas non plus allé lui dire qu'elle est folle (selon les abrutis) et que ça douleur n'est pas réel, que c'est stupide juste pour avoir des medoc et autre. Ou encore rigoler comme des abrutis (mais n'ai je pas dit qu'ils l'étaient?) quand on parle du syndrome de Silverman (les enfants battu) ...
Et bien sur il y a ceux qui chouine encore pour leur prochain stage a la fin du mois, et d'autre pour reporté les évaluations "mais ca va trop vite, et nia nia on a pas le temps, et nia c'est trop rapide, donné nous au moins le sujet ou genre de questions tyupe" (et pourquoi pas l'éval' compléte non!!) Ils se croivent surement encore au lycée, en s'imaginant qu'on va les prendre par la main, tout leur expliquer de A à Z, qu'on ira a leur rythme, qu'on aura tout le temps des vacances ou du repos et autre...Ils oublient souvent que la c'est plus de simple court et que se qu'on ne sait pas peut mettre en jeu la vie d'un patient.
Pour mon stage j'ai pas a me plaindre, je suis toujours dans ma ville, meme si j'aurais a peu prés le meme temps de marche qeu pour allé a l'AFPA mais autant si je prend la route qui longe l'esplanade je pourrais y allé en roller (si bien sur j'arrive a chopé un casier)
Je serais dans le service DBC3 (département blessé crânien) Rééducation neurologique

Les pathologies les plus rencontrées:
  • Locked-in syndrome
  • Traumatismes crâniens
  • Rupture d'anévrisme
  • Accident vasculaire cérébral
  • Anoxie cérébrale

Les soins spécifiques au service:

  • Bilans sanguins
  • Soins de trachéotomie
  • Alimentation entérale + calcul débit
  • Pansement de gastrostomie
  • Installation des patients au fauteuil et au lit (postural et ergonomie)
  • Rééducation alimentaire
  • A V J (éducation des patients aux actes de la vie journalière)
  • Accueil des familles, éducation pour les permissions et Gestion du stress
Il faut encore que je face mes petite recherche pour les pathologie parce qu'on a pas encore fait la neuro en cours (de toute façon c'est au programme des 2éme année je crois ou peut etre 3éme ^_^") Mais au moins ca changera, je verrais enfin les soins infirmiers et tout.

A la la, vive les fête transformer pour devenir des fêtes commerciales. Je ne suis pas anti St Valentin, et se n'est pas parce que je suis accompagné que je dis ca, je sais que pas mal de celibataires grogne se jour la, sont jaloux et autre, mais moi je m'en fiche un peu, St valentin pas st valentin c'est du pareil au même... Pas besoin d'un jour particulier pour prouver son amour et autre, mais c'est vrai qu'aprés pour certain ca donne l'occasion d'acheter un cadeau, un peu comme la fête des mére et autre, beaucoup attende se jour pour faire un geste. C'est malheureux mais d'un coté beaucoup aussi se fiche de se jour et offre rien et montre rien a longueur d'année.
Enfin... Pour l'historique si ca vous interaisse autant passé par la ttp://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Valentin c'est toujours mieux expliquer que moi ^_^et puis flém de faire un resumé qu'autant personne ne lira...

J'ai eu un super cadeau quand même de la part de mon Valentin ^_^ si si... Un trés jolie serre taille... Petit soucis quand même il est pas a ma taille ... haha... C'est fou comme parfois on peu se sentir obése (même s je sais que je suis pas bien grosse) la petite pensé du genre "oups je ferme pas" passe quand meme pas la... Mais je peux pas faire grand chos pour arrnager ca vu que c'est la cage thoracique qui est trop large... Enfin bon, normalement il doit pouvoir l'echanger, seul hic je devrais encore attendre, snif, parce qu'il a acheter sur marseille, bref... Je vais essayé de voir quand mes parents monterons avec ma future voiture...
Bon mon cadeau a plu c'est déjà ça, et la chemise lui va, na! Puis le parfum lui plait aussi (je suis doué parfois hihi) puis l'autre en commun on verra aprés ^_^


Des pensées qui ne devraient pas être la...Ou peut être que si...

Des envies d'ailleurs...Subitement une comprehension des mantes religieuse, elles sont douées ces bestioles en fait elles ont tout compris je pense... Une comprehension aussi des sado maso, mouais mouais dira-t-on mais bon, des envie de me faire mal, de faire mal... Des tas d'idées qui traversent, des tas de "qu'est se que je fais la" "oh misére" et autre pensées dasn le genre ...

Pfff...Je suis pathétique je sais... Encore j'ai fait mes courses se week end ^_^ hihi ca fait toujours ça en moins... Grrr...la ferme Xel ca vaut mieux!

Tadam tadam!
Z'avez surement remarqué le changement de couleur ...
Je pensez faire un truc clair, dans les teinte jaune version parchemin et tout et tout, un truc sympa et tout.
Au final ca c'est retrouvé etre un truc sympa (enfin moi ca me plait bien) mais pas du tout clair et pas du tout effet parchemin..
Enfin je me suis bien amusé a testé les différents truc dans le panneau des html et tout... Faudrait que je trouve du temps histoire de bien faire mon idée de départ effet parchemin et le reste...J'ai les images et tout et tout mais bon... Fléme et pas le temps dira t-on... *sifflotte*
Sinon se matin j'ai enfin eu l'évaluation de mater-gynéco. Enfin, juste parce qu'on été sencé la faire avant les vacances de décembre.
Bon ça c'est pas si mal passé..Ca c'est pas bien passé non plus...Ca c'est passé dira t-on... Je vais pas me faire d'idée en sortant de la pneumo je pensais l'avoir bien reussi, du moins avoir l moyenne et tout et en voyant les resultats ca m'a un peu zapé le moral. Menfin, c'est comme ca... Ratrapage la semaine prochaine, je verrais bien...
Et la on est en plein dans l'ortho... \o/ youhouuu motivé! A voir se qu'est un os, les articuations, les nerfs, les patho et tout et tout...tsss... enfin c'est interaissant mais c'est les autres qui me fouttent la migraine toujours a parlé et fouttre le bordel! En plus les cour des intervenant sont pas obligatoire alors pourquoi venir nous emmerder dans ces conditions??
Enfin bref... ON a vu vite fait une pathologie, qui se nomme l'ostéonécrose, vite fait comme le terme ne vous dit rien? Ostéo= os Necrose= mort du tissu...Enfin c'est pas l'éthymologie exacte mais en gros c'est les tissus osseux qui pourrissent (pourrittent comme ils disent ici ^^ avec l'accent bien sur rooo tout expliquer!) Bon bon on se fou de l'éthymologie exacte, le mieux c'est de savoir les facteurs de risques:
  • Alcoolisme aigu (boire beaucoup d'alcool en trés peu de temps et trés reguliérement)
  • Les traitements à la cortisones
  • Et l'hypertriglycérinémie.

Bon zappons vite fait les deux dernier, c'est pas d'eux que je compte parlé donc pas la peine de comprendre les termes pour continuer de lire ou au pire taper dans google ou wikipédia ou doctissimo, mais comme je sais que beaucoup sont flémard ils iront pas cherché (si je le sais!)

Et c'est quoi la nouvelle mode chez les jeun's en se moment? hein? Ben c'est de boire! Bien sur toute les soirées doivent etre alcooliser avec eux. Et même au lycée ca leur prend. Et dans la rue et partotu ailleurs. Et parlons pas des jeux stupide qu'ils inventent juste pour boire. Des coma éthylique et tout et tout.

Mais bon, tout ca c'est "rien" a coté de la pathologie qu'on a vu (vi celle d'en haut l'ostéonécrose) parce que le medecin qui nous a fait le cours nous a raconter diverse anecdote. De patient qu'il a vu, une fille de 17ans qui a du avoir une protése de hanche a cause de ça. Et d'un mec de 20ans qui a eu pareil.
Mais non, pour les jeun's ya pas de danger! L'alcool c'est rien, c'est juste pour etre cool, pour rigoler faire la fête. Ben ca peu etre rigolo aussi d'avoir un abonnement a vis pour le bloc, parce que les protése de hanche ca finit par s'user. Ben vi!

18:19


En milieu d'aprés midi on s'est motivé pour s'habiller et allé faire une petite escapade sur la plage. Bien sur comme il faisait toujours beau aujourd'hui ça grouiller de monde. Tsss pire que les forumis parfois les piétons! Et comme c'est les vacances il y avait plein de gosses... Je préfére me balader quand il fait gris. Au moins je peux faire des ptit dessins dans le sable et personne ne les piétine deux minute aprés. C'est toujours plus sympa que les chateaux de sables. Mais bon, de toute façon j'avais laissé mon appareil photo dans mon appart... Fatalité j'ai manqué une superbe photo du coucher de soleil.






Mais bon, une fois tout traversé et arrivé prés de l'eau il n'y avait plus grand monde. J'ai pu ramasser deux trois coquillage ^_^j'avais dans l'idée de faire un dessin en en collant quelques un dessus, mais la j'ai pas tout mon matériel donc je fais juste la recolte de coquillage et verrais plus tard... Quand je ne serais pas trop prise avec les revisions, stages, évaluations et autre. C'est a dire dans trés, trés, longtemps.

Enfin... Demain c'est la reprise...Me revoila qui debarquera sur les bancs de l'école, j'ai hate et pas du tout en même temps. Mardi évaluation en gényco et vu que j'ai eu 9,22à la pneumo autant carburer pour celle la. Enfin je verrais d'ici la.

Ca fait bizarre d'ailleurs quand je dis que je suis éléve infirmière. La plupart du temps les gens me prennent pour un médecin et commence a me balancé leur probléme. Déjà avant que j'entre a l'école c'été comme ça. A devoir m'occuper du chien quand il été malade, nettoyer, la soigner et autre. "C'est toi qui veut être infirmière ca t'habitu au moins."
Ou le genre "le medecin m'a dit que j'avais ca t'en pense quoi, tu crois qu'il a raison" ou encore "je me suis blesser a l'ongle c'est rouge et ca fait mal j'ai peur que se soit un panari tu penses que je dois faire quoi attendre ou pas ca fait hyper mal je souffre." Tout ca sur le net bien sur, comme si je pouvais voir si c'été grave ou pas et comme si j'été médecin pour mettre un diagnostic ou encore contre argumenté un diagnostic.
Mais tout de suite les gens se dise "ah c'est l'éléve infirmière on va pouvoir lui demander ça et ça."
Comme en stage. On avait meme pas d'infirmerie ni le matériel ni meme les connaissances selon les probléme. Mais bien sur il y avait toujours quelqu'un pour venir frappé au bureau, bien sur ils nous prennaient pour le vigil et quand on lui répondait "non désolée nous on est stagiére infirmier" tout de suite "ah ben c'est cool, mon pote c'est fait mal a la main il c'est donnée un coup vous pouvez venir le soigner" mouais, pourquoi pas mais avec quoi au juste?
Il y a aussi ces regard avec les "waou c'est bien ca" comme si on leur disait qu'on été chirgurgien ou avocat ouastronaute ou n'importe quoi d'autre. C'est un métier comme un autre. Mais quand on dit ca on a droit a des "non non c'est pas vrai, franchement faut une vrai vocation puis etre vraiment doué puis c'est pas facile, voir les malades, les morts, le sang" et pattati et pattata, donc aprés grand sourire "oui c'est sur si vous le dites" on va pas les vexé non plus.


Pour en revenir a mon aprés midi c'été plutôt sympa. Bon il faisait froid aprés et j'ai pas vraiment reussi a me motivé pour reviser mais je vais essayé de m'y mettre aprés...


Cette aprés midi je me suis motivé à allé faire quelques courses en roller.
Je me suis dis comme ça ça va plus vite, je peut allé au carfour qui est a l'autre bout de la ville et ensuite allé récuperer mon copain a la gare.
Bien sur juste avant de partir j'ai un appel, et son train a eu du retard à cause d'un "accident de personne" comme ils disent, c'est sur que c'est toujours plus sympa que de dire que quelqu'un c'est jetter sur les rail. Fatalité, il a raté sa correspondance et a du poireauté plus de 2h à la gare du nord.
Donc je me suis quand meme motivé a allé faire mes courses et revenir chez moi aprés.
Sauf que les piétons sont des danger ambulant!
Bien sur j'ai bien choisi mon jour, il y avait une petite éclairci (se qui est rare dans le nord) et pas d vent en plus de ça, donc une journée super belle comme ils diraient ici. Donc des que c'est comme ca tout le monde débarque sur l'esplanade pour se baladé, les vieux, les jeunes, les poussettes, les fauteuil roulant ... ...
Et ca deviens horrible de circuler!
Bien sur je connais le chemin. Je suis partie rejoindre tranquillement la piste ciclable. Bien sur c'est reservé au vélo, mais ca marche aussipour les roller, on roule mieux et on est plus en securité. Sauf qu'habituellement je prend le chemin du trotoir (plus rapide et je connais puis ya jamais personne en temps normal) sauf que la je m'été motivé a prendre la piste ciclable pour pas galéré a esquiver tout se petit monde sortit d'on ne sait trop où...
Bref...
Au début ca allait...Je roule, je profite du soleil, pas de vélo ni rien je suis penarde toute seule sur la route...
Sauf que voila il y a des travaux, et ma jolie petite piste a disparu a cause des grilles qui me bloquer l'accés. Bien sur avce les travaux il y a des gravier sur le passage... Donc ca deviens perilleux pour passé san tomber ni se faire ecraser. Bon c'été cours comme passage et 100m plus loin j'ai retrouvé ma jolie piste. Mais a peine quelque metttre plus loin de nouveau disparition! Juste avant un rond point bien sur! Et bien sur pas de trotoir, enfin il y en avait un bout mais il y avait de l'herbe dessus...tsss...
J'ai quand meme fini par retrouvé ma piste beaucoup plus loin, donc de nouveau en securité mais plus toute seule ni libre...Grr, sont chiant ces piétons...
Bien sur ils prennent toute la place! Et s'esquive meme pas quand on essais de passé!
Et c'est qui qui esquive en allant dans l'herbe? Ben c'est bibi...Tsss...c'est logique bien sur, j'ai des roller tout terrain voyons...
Et les poussettes qui vous fonce dedans non! Non ils veulent pas esquiver...
Heureusement que j'arrive a gerer et vais pas vite, sinon il y aurait eu plus d'un accident.
Enfn j'arrive quand meme au magasin 40min plus tard a peu prés...
Mais la encore ca grouille...Des gosses! des familles qui font leur course! Non mais franchement peuvent pas allé se balader sur la plage qu'il fait beau aujourd'hui! Non! Ils preferent s'enfermé dans les galeries marchandes, tssss...
Je fini par acheter mon cadeau de la st valentin, fait deux trois courses et quand je suis a saturation finit par allé a la caisse. Comme a mon habitude je prend la mauvaise, une femme qui a pas peser ces tomates. Mais elle y tiens a ces tomates en plus c'été le dernier article, mais elle les veut, donc repart dans le magasin va les peser et reviens 15min aprés...
Au final je suis revenu par le chemin habituelle...Comme il est plus tard ya personne sur le trotoir...Donc de nouveau libre. Sauf que les trotoir sont pas fait pour les roller... du moisn ici... C'est fait pour les fauteuil roulant donc pratique pour traverser et tout pas besoin d'esquiver les marches et tout mais bon... En plus ya plein de crottes de chien...grrr...
Enfin j'esquive le peu de piéton en allant sur la route et ces abruti meme pas un merci, déjà ils bougent pas et aprés ils sont pas sympa! Non mais ca donne envie de leur foncé dedans par moment!!
Et au moment ou je crois etre tranquille que je fais une petite accélération, ya un vélo qui déboule de nul par (enfin si de la gauche) et la j'esquive a gauche en passant derriére, lui s'arréte donc au final mon esquive fait que je manque lui foncé dedans (non mais pourquoi ils s'arretent lui!) donc de nouveau esquive en manquant le poteau, slalomant et m'arreter a peine plus loin...Fiou, meme pas tomber ca c'été de la maitrise ^_^héhé... Donc aprés on bien rigoler avec le vélo...
Et de nouveau le trotoir qui grouille de piéton et pousette et ptit vieux, grrr... Et meme pas ils se poussent un peu, ils s'arretent en plein milieu vous fonce dedans pour ragarder les vitrine et meme pas pardon!
T out une éducation a refaire franchement!!!


J'ai toujours été contre les medicaments n'importe lequel d'ailleurs, sauf cas vraiment extréme mais bon.
Je me suis surprise se soir a faire presque l'apogée des antidépresseurs et anxiolitiques.
Une amie (si on peut dire) qui va vraiment mal en se moment. Fais crise de larmes sur crise de larmes, et quand c'est pas ça c'est des crises de nerfs.
Je lui en avait déjà parlé une fois, en lui disant qeu se serait bien qu'elle voit un psychiatre pour ca, que ca pouvait l'aider et tout. Je lui avait passé l'adresse d'un CMP que je connaissais et le nom de quelques psychaitre plutot bien (vu que c'est rare le plus souvent) mais quand elle c'est enfin motivée a y allé pour prendre rendez vous et tout ils lui ont dit que c'été pas son secteur et donc n'on pas prit de rendez vous ni rien. Donc la elle attend encore et je doute qu'elle se remotivera de suite a allé la bas. Je doute aussi qu'il y en ai des aussi bien que la où je l'avais envoyé.
Mais bon... Pour en revenir au choc que je me suis fait se soir, je lui ai dit que c'été assez important. Et quand elle m'a dit que des amies elle lui avait dit que les medicaments c'été foireux et tout, j'ai contre argumenté. En lui disant que ca l'aiderais a surmonté ces crises, que ca pouvait en éviter pas mal, l'aider a remonter la pente, reguler ces humeurs et tout. En disant que les effets secondaire été faible si c'été bien dosé et tout. Que ca l'aiderait aussi a se reconcentré sur ces cours et tout.
Bref, je me suis choqué toute seule, moi qui a la base dit que c'est de la drogue légal.
Je lui ai donné des exemples de gens que je connaissais et qui en avait prit ou en prennent encore. Je lui ai parlé de ma soeur qui a arrêter sans difficulté ni effet de manque ni rien, qui a quand meme du reprendre mais en a qu'un par jour et a une vie tout a fait normal (meme si ma soeur a toujours été trés lunatique, elle n'a plus d'angoisse ni rien)
Il faut croire que meme si je n'ai toujours pas été travaillé dans les services c'est le métier qui rentre.
Mais je ne sais pas du tout si elle arrivera a faire le pas chez un psychiatre, et si c'est le cas dans combien de temps elle sera prise en charge. Parce que la ca hurge un peu mais dans les CMP il y a bien souvent des mois d'attente ...

21:57

Une amie m'a fait découvrir se groupe il y a quelques temps déjà.
C'est assez particulier et ne rentre pas vraiment dans un critére de musique.
Perso j'aime pas trop la voie en live (trop de changement d'intonation et trop d'aigu, mais chacun ces gouts) par contre je trouve que la mise en scéne est superbe. Ainsi que l'histoire et les paroles.
Quelques videos en exemple. Le plus souvent ça plait ou ça plait pas (comme toutes les musiques vous me direz!)






Princesse de rien


J'ai pas reussi a mettre les autres video que je voulais, mais celle la est sympa, une de mes préférée de toute façon.

16:44

J'ai enfin terminé mon premier stage. Aujourd'hui a midi! Fiou! C'est pas trop tot... Pas que ça c'est mal passé, mais il n'y avait pas grand chose a faire. Enfin je vais pas me plaindre (se plaindre c'est mal!) puisqu'au final j'ai eu 18, même si on a quasi rien fait a part surfer sur le net, regardé la télé et papoter. Bref, on s'en fiche! L'important c'est la fin du stage et la bonne note!
Mais tant qu'a faire autant partager un bout du dossier qu'on a pu faire la bas. Même si en y réfléchisant bien j'ai quasi tout fait, c'est pas normal mais bon, m'en fiche... Au moins j'ai tué le temps en m'informant, c'est-il pas géniale?
Commençons par la 1ére partie (aprés les objectif et la présentation de la structure) qui est le sommeil.

Le sommeil :
Le sommeil est un état caractérisé par une activité corporelle très réduite et une perception quasi absente de notre environnement. On dors environ 1/3 de notre vie. Nous dormons parce que nous nous fatiguons et que nous ne pouvons plus travailler quand nous sommes trop fatigués. La durée de sommeil est différente pour chaque individu. La durée moyenne du sommeil pour adultes est de 7 à 8 heures, mais pour respecter la durée moyenne de tous les hommes on doit élargir cet intervalle de 6 à 9 heures. Elle varie en réalité de 3 à 12 heures. Certains se sentent bien reposés après 5 heures et d'autres ont besoin de 10h de sommeil pour être frais et dispos. On a assez dormi quand, en cours de journée, on peut se livrer à une activité longtemps, en position assise, en restant concentré, sans somnolence.
Il existe différent troubles du sommeil.

a)L’insomnie :

Plainte d'un mauvais sommeil avec retentissement sur la qualité de la journée se traduisant par des difficultés pour s'endormir ou bien pour rester endormi. L'insomnie peut être provoquée par des maladies générales, par des problèmes psychologiques, par des médicaments, par des problèmes de rythme ou par des maladies du sommeil. Le traitement de l'insomnie dépend de sa cause.
L'insomnie affecte la vie personnelle : les insomniaques se sentent plus fatigués et plus irritables, leur vie familiale et sociale est perturbée à tout âge. Elle génère des troubles intellectuels, en particulier des troubles de la mémoire et de la concentration. Son lien avec la dépression est fréquente : elle en est souvent le premier symptôme. Elle peut être aussi la cause d'accident du travail ou de la voie publique en raison des troubles de l'attention qu'elle entraîne dans la journée, parfois aggravée par certains somnifères.
Les causes de l’insomnie sont très variées ; elles peuvent être de nature physique (, des douleurs nocturnes ), psychique (la dépression, l’anxiété, le stress) ou encore externe a la personne (mauvaise literie, bruits, chaleur…)

b)L’hypersomnie :

Excès de somnolence pendant la journée ou sommeil nocturne de très longue durée typiquement plus de 10 heures par nuit. Il peut arriver que des patients fassent des nuits de très longues durées associées à des siestes de plusieurs heures. Malheureusement ces siestes sont le plus souvent non récupératrices. Le réveil est très difficile et nécessite la présence de plusieurs réveils-matin voir d'une aide extérieur. C'est en général la plus grande difficulté des patients qui arrivent très souvent en retard le matin.
Elle peut avoir différentes origines : sommeil de durée ou de qualité insuffisante. Il est important de parler de sa somnolence à un médecin pour en déterminer la cause et le traitement si nécessaire.

c)Somnolence excessive :

La somnolence anormale est souvent sous-estimée par le malade. S'endormir occasionnellement devant la télévision après un bon repas n'est pas pathologique. Il en va tout autrement quand cette somnolence est régulière obligeant à lutter pour rester éveillé devant la télévision, pendant la lecture ou en réunion de travail ou de famille. Plus encore, cette somnolence peut surprendre la personne au volant de sa voiture. Elle peut aussi être responsable de mauvaises performances au travail ou à l'école.
D’autres troubles du sommeil peuvent provoqués une somnolence excessive (insomnie, apnée du sommeil, hypersomnie) Certaines maladies, ainsi que certains médicaments, peuvent entraîner cette somnolence. Des maladies chroniques comme l'asthme, l'insuffisance cardiaque, les maladies rhumatismales ou d'autres maladies douloureuses chroniques qui fractionnent le sommeil ont le même effet. L'alcool est également redoutable pour le sommeil : bien qu'il facilite l'endormissement, il provoque un fractionnement du sommeil pendant la nuit qui peut être responsable de somnolence dans la journée. De surcroît, il altère directement la rapidité des réflexes. La caféine, qu'elle soit consommée dans le café, le thé et les boissons sucrées, entraîne des difficultés d'endormissement pour des durées de 3 à 7 h. A très fortes doses des effets paradoxaux (somnolence) sont possibles. La nicotine du tabac est également un stimulant et perturbe le sommeil et l'endormissement.

d)Apnée du sommeil :

Le syndrome d'apnées du sommeil est une maladie fréquente qui survient chez 4 à 6 % des adultes et également chez l'enfant.
Il se traduit par des pauses respiratoires répétées au cours du sommeil (plus de 10 par heure de sommeil et durant plus de 10 secondes chez l'adulte), entraînant une asphyxie avec un fractionnement et une perturbation de la qualité du sommeil, avec, pour conséquence, une somnolence le jour plus ou moins importante
Ces pauses respiratoires sont habituellement ponctuées par un ronflement important. Elles sont parfois accompagnées de sensation d'étouffement la nuit, d'un sommeil agité et éventuellement d'une transpiration nocturne abondante, ainsi que de fréquents levers pour uriner. Sont souvent associés des maux de tête au réveil, une irritabilité, des troubles sexuels, des troubles de la mémoire et de la concentration, voire des signes de dépression.
La fatigue est constante, souvent dès le réveil. Il est primordial de reconnaître et de traiter précocement les apnées du sommeil car elles peuvent favoriser l'apparition de troubles du rythme cardiaque, d'hypertension artérielle, et la survenue d'infarctus du myocarde ou d'accident vasculaire cérébral.
De plus, l'hypersomnolence diurne peut être responsable d'endormissement au travail ou au cours de la conduite automobile.
Les apnées du sommeil ont différentes causes. Elles existent dans tous les groupes d'âge et dans les deux sexes, mais elle sont plus fréquentes chez l'homme et chez la femme après la ménopause.
Les personnes les plus susceptibles d'avoir un syndrome d'apnées sont celles qui ronflent de manière importante, qui ont un surpoids ou des anomalies de la gorge ou de la face. Il semble y avoir également un facteur familial associé à cette maladie.
Les apnées du sommeil sont le plus souvent en rapport avec une obstruction des voies aériennes supérieures, provoquée par un relâchement anormal des muscles de la gorge et de la langue alors que la gorge est déjà encombrée par une anomalie anatomique ou une surcharge en tissu graisseux.
Le diagnostic est réalisé au laboratoire du sommeil par un enregistrement de la respiration et de l'activité cérébrale au cours d'une polysomnographie : c’est un examen médical consistant à enregistrer, au cours du sommeil du patient, plusieurs variables physiologiques (rythme respiratoire, rythme cardiaque, électroencéphalogramme, électromyogramme des muscles des bras ou des jambes...) ainsi que d’autres signaux qui permettent de reconnaître la succession des différents stades de sommeil.

Règles simples d'hygiène de sommeil:

Certaines règles simples d'hygiène de sommeil permettent de préserver la qualité de votre sommeil sans oublié que ce qui profite à l'un ne marche pas forcément chez un autre, car c'est avant tout une question individuelle. Le bon sens doit guider chacun, car avoir des activités stressantes et énervantes juste avant de se coucher n'est pas à conseiller.
  • Levez-vous et couchez-vous à des heures régulières.
  • Evitez la pratique de sport le soir, mais favorisez l'exercice physique le matin et en début d'après-midi.
  • Evitez la sieste quand vous avez des difficultés d'endormissement au coucher. Par contre, favorisez la relaxation et/ou éventuellement une sieste brève (10 minutes) lorsque vous êtes stressé.
  • Ne buvez ni café, ni thé, ni Coca-Cola et évitez la vitamine C à partir du milieu de l'après-midi.
  • Au réveil, favorisez la "mise en route" par une douche, un peu d'exercice physique et l'utilisation de lumière forte (une lampe halogène, à défaut du soleil naturel, peut faire l'affaire).
  • Le soir après les activités habituelles, réservez-vous une demi-heure avant le coucher pour des occupations tranquilles et favorisant la détente que vous aimez.
  • Evitez les discussions animées, les activités stimulantes comme rédiger un rapport, ou lire un livre ou regarder un film très excitant ou angoissant.
  • Evitez les repas riches et difficiles à digérer avant d'aller au lit.
  • Evitez la consommation d'alcool après le dîner. Un "petit coup" pour s'endormir dérange plus le sommeil qu'il ne le facilite et peut provoquer un réveil matinal précoce.
  • Essayez de vous détendre avant d'aller vous coucher : un bain pas trop chaud, de la musique, une lecture légère, et évitez de penser à des situations stressantes.
  • En cas d'éveil nocturne de longue durée, levez-vous et prenez votre temps (tisane, lecture,...), puis recouchez-vous lorsque vous avez vraiment sommeil.
Il existe bien sur d'autre trouble du sommeil l'énurésie, le somnembulisme... On a vu le "en général" et les plus connu. Ainsi que ceux de l'adulte.

17:35

Le mot stress est issu du latin Strictus : serré, pressé ; en anglais : contrainte tension.
La première définition (avant que le terme stress ne devienne synonyme de tension, pression, angoisse permanent) est biologique ou physiologique : réponse de l'organisme à une agression :

  • agression physique : blessure, douleurs diverses, choc opératoire, ...
  • agression psychologique : situations alarmantes, menaçantes (affrontement, fuite, ...)

Le stress est donc une réponse en fonction d'une exigence : s'adapter pour garder l'équilibre. Chacun de nous à l’heure actuelle a pu utiliser le mot « stress » pour définir ce qu’il ressentait à un moment ou un autre de son existence et à l’heure actuelle, il est très à la mode d’appliquer ce terme à toutes sortes de situations de la vie autant publiques que privées.

Il y a deux sortent de stress : le stress positif et le stress négatif.

Le stress positif :

C’est un stress bénéfique pour notre organisme. C’est une excitation, un stimuli suffisant pour déclencher une adaptation rapide. Ce stress est caractérisé par une excitation qui mobilise tous nos sens face à elle. On retrouve par exemple dans cette catégorie, le trac de l'artiste ou du sportif ou de l'amoureux avant un premier rendez-vous ou encore l’étudiant face à un examen. Ce stress joue un rôle dans la concentration et la mobilisation des ressources, ce sont des stimulants

Le stress négatif :

C’est un stress nuisible et gênant. Pour certains individus, le stress inhibe leurs capacités et les empêche de mener à bien ce qu’ils ont entrepris. Il s'installe bien souvent de manière chronique et cause à termes des maladies psychosomatiques.

Les causes :


Le stress à de nombreuses causes. On a l'habitude d'associer le stress à des situations créées par des relations humaines (passage d'un examen, conflit interpersonnel...) mais ce syndrome se manifeste pour tout changement : voyage (choc culturel, décalage horaire), changement climatique (par exemple lorsque l'on sort dans le froid), événement professionnel (licenciement, nouveau travail, changement d'équipe), événement familial ou sentimental (déménagement, mariage, divorce, naissance, décès, nouvelle rencontre, dispute), changement corporel (adolescence, ménopause)...


a) Phase d’alarme :

Choqué, malmené, l'individu sollicite ses ressources pour répondre à la demande d'adaptation. De grandes quantités d'énergie (sécrétion d'hormones) sont dépensées.

  • Choc : accélération du rythme cardiaque, chute de la tension et du tonus musculaire.
  • Alarme : le corps répond au choc, s'adapte au traumatisme. Tension et contraction musculaire augmentent. Troubles digestifs, mal de tête, ...

Le sujet fait face.

b) Phase de résistance :

L'individu s'adapte et s'adapte encore : il résiste. Les réserves d'énergie baissent. Le corps ne récupère pas du traumatisme et de la dépense d'énergie. De nouvelles sollicitations le touchent avant qu'il n'est retrouvé son équilibre. Pathologies fonctionnelles, anxiété, somatisations, ...

Le sujet fait face, mais dans la tension.


c) Phase d’épuisement :

La situation s'installe et perdure, l'individu s'épuise, ne s'adapte plus. Le stress s'installe de manière permanent. Il devient chronique. Pathologies fonctionnelles, organiques et psychologiques

Le sujet ne fait plus face.


Comment réduire le stress ?

Le stress a de nombreuses causes. Chaque personne est différente et réagira à sa manière face à une situation, chacun a sa méthode pour gérer le stress.
Pour le réduire il faut avant tout savoir d’où il viens pour comprendre, gérer voir changer la situation. Il faut savoir que dans certain cas cela ne suffit pas et que l’intervention d’un professionnel (psychologue, thérapeute…) est nécessaire voir indispensable. Certaines approches thérapeutiques permettent de diminuer, voir guérir le stress chronique.


a) Réduire le nombre de stresseurs

  • Choisir d'étaler dans le temps la réalisation de certains objectifs. Par ex., débuter un nouvel emploi, rénover la maison et avoir un enfant... toutes des expériences normalement heureuses qui peuvent être lourdes à vivre si toutes en même temps.
  • Évaluer le niveau de stress avant d'entreprendre un projet. Par ex., une période de tension conjugale peut être mal choisie pour entreprendre la rénovation de la cuisine.
  • Remettre en question certaines valeurs, croyances et objectifs. Par ex., réduire ses objectifs d'acquisition de biens afin de vivre moins de pression financière, réduire ses objectifs de performance, limiter le nombre de sorties afin d'avoir du temps où l'on est pas pressé, etc..
  • Conscientiser et modifier certaines attitudes et traits de personnalité qui amènent à dépenser trop d'énergie ou à percevoir inutilement certaines situations comme des stresseurs. Par ex., perfectionnisme, besoin d'approbation, incapacité à dire non, etc..
  • Résoudre les problèmes afin que certaines situations qui constituent des stresseurs cessent de se perpétuer.
  • Ne pas avoir peur de dire oui ou non, savoir mettre fin à une relation trop stressante, écourter une communication ennuyeuse ou faire un point sur les comportements stressant de l'autre.
  • Prendre le temps pour soi, choisir ses priorités, ne plus se laisser manipuler sans réagir et encore ruminer seul les problèmes.
  • Prendre soin des relations avec ses proches.


    b) Réduire la réponse de l'organisme aux stresseurs

  • Quand le travail est fini, passer à autre chose.
  • Se détendre en pratiquant des activités agréables.
  • Limiter la consommation de stimulants comme la caféine et la nicotine.
  • Prendre suffisamment de sommeil. Se changer les idées avant de dormir pour être plus détendu. Ne pas entretenir les soucis 24 heures sur 24. Se réserver un couvre-feu quotidien.
  • Faire de l'activité physique.
  • Se faire plaisir. Il est préférable pour réduire le stress de s'offrir des petits plaisirs fréquemment plutôt que de se promettre une grande récompense à plus long terme: par ex., il vaut mieux prendre le temps pour se consacrer à des intérêts et se divertir dans son quotidien que de faire du supplémentaire pour se payer des vacances annuelles dispendieuses ou encore de s'acheter de bons livres, de bon disques, de bons logiciels régulièrement plutôt que d'économiser pour une piscine dans deux ans.
  • Relaxer. La relaxation est une réponse de l'organisme opposée à la réponse de stress. Il existe plusieurs techniques de relaxation. Elles reposent toutes sur le même principe: arrêter de penser afin de réduire la tension: pour ce, il faut concentrer sa pensée sur quelque chose de neutre. Elles peuvent être de précieuses aides pour apprendre à se connaître soi-même par la maîtrise du souffle on acquiert la maîtrise de soi.


Comment se relaxer ?

  • Respirer.
  • Prendre une posture qui permet la décontraction musculaire.
  • Détendre volontairement nos muscles.
  • Étirer ou masser nos muscles et nos articulations.
  • Être présent.
  • Adopter l'attitude "laisser être".
  • Utiliser la suggestion ou l'autosuggestion.
  • S'entourer de conditions extérieures favorables à la détente.

Certaines personnes considérent les piercing comme de l'automutilation.
Une amie m'a dit une fois que pour elle les piercing c'été de l'automutilation gratuite. Ce n'est pas trop gratuit quand on vois les tarif mais bon. D'aprés elle ca passe inapercu de se piercer en ayant le but de se faire du mal.
J'ai toujours trouvé ça stupide! Oui, oui ça change pas!
Comme j'ai dis la définition de l'automutilation et de se faire du mal volontairement mais sois même ! Donc pour moi le fait d'allé chez le pierceur n'entre pas en compte. Déjà ca fait pas si mal que ça selon les endroits. C'est souvent anésthésier (quoi que parfois c'est psychologique) mais si le pierceur s'y prend bien, ca va super vite et on a pas le temps de réagir. Mais chacun a son seuil de douleur.
Aprés il est vrai que les personnes peuvent ne pas prendre soin de leur piercing, faire exprés de l'infecter et autre, mais la c'est autre chose.
Beaucoup pensent qu'une fois que le piercing est fait il n'y a plus a s'inquiéter. Ou bien le désinfecte les premiers jours et arrêtent vite fait pensant qu'il n'y a plus de danger. Sauf que la cicatrisation est assez longue on croirait pas parfois. Mais il ne suffit pas qu'il n'y ai plus de douleur, plus de sang ou de lymphe pour que se soit cicatrisé.
Même si ça dépend de chaque personne la durée est souvent longue.

  • Le lobe de l'oreille => moins de 4 semaines.
  • La langue => 3 à 6 semaines.
  • Cartilages de l'oreille ou du nez cicatrise => 6 à 12 semaines.
  • Les mamelons et parties genitales => 2 à 6 mois.
  • Le nombril => 6 à 12 mois.

Bien sur aujourd'hui beaucoup de jeune se font des piercing, c'est la grande mode dira-t-on. Meme si ca existe depuis longtemps. C'est marrant d'ailleurs de voir les origines quand on pense a se que c'est devnu actuellement.

  • Oreille => Ce piercing permettait de distinguer une personne riche d'une personne pauvre. Dans le sud de l'Afrique, les tribus stretchaient les trous et plus il était grand, plus grand était leur rang social.
  • Nez => Son origine date d'il y a 4000 ans, au Moyen Orient. Il s'est répendu en Inde au 16e siècle. Là aussi, lorsqu'on le portait, on se distinguait socialement des autres : on était riches. Dès les années 1960-70, il fut adopté par les Hippies et les Punks.
  • Septum => Son originie vient des Papous et d'autres tribus tribales très anciennes... dans ces tribus, autant les hommes que les femmes se percaient la cloison nasale pour y passer des bijoux en or la plupart du temps.... On ne sait pas l'explication exacte de ces traditions, mais encore aujourd'hui on peut la retrouver chez des anciens peuples qui ont survécus jusqu'à aujourd'hui ..(Asie, Amérique du Sud, Afrique, ...)
  • Langue => Dans les temples aztèques et mayas, les prêtres se perçaient la langue lors de rituels pour communiquer avec les Dieux.
  • Lèvre/Labret => Les tribus africaines ainsi que sud-américaines s'ornaient les lèvres de bijoux en or pour séduire. Les femmes africaines portaient des plateaux sur la lèvre pour exciter les hommes.
  • Sein => Le piercing au sein était considéré comme signe de force, de virilité, d'endurance. Les Romains se perçaient les mammelons pour tenir leurs capes et pour montrer leurs haut grades. En 1890, se sont les femmes qui se sont mises à porter des anneaux aux seins, pour embellir leurs décolletés.
  • Nombril => La première trace du piercing au nombril remonte aux Égyptiens. Seules les familles royales avaient le droit de se piercer le nombril.
  • Surfaces => Les piercings de surfaces sont le résultats de "performances", de gens qui ont voulu tester le piercing et aller plus loin... Les premières "performances" remontent aux années 70-80, dans le milieu Underground....

Comme quoi les piercing remonte de bien plus loin et avait d'autre signification qu'aujourd'hui.

Bref...Pour en revenir au théme j'ai toujours du mal à associé les piercing à l'automutilation. Bien sur a part si on fait l'amalgame avec automutilation et scarification. Ou bien si la personne se fait sois meme son piercing. Mais les scarifications et les piercing sont la avant tout pour l'ésthétique (même si certain ne trouvent pas ça esthétique.) Donc pour moi l'acte par lui même d'allé se faire un piercing n'est pas de l'automutilation. C'est se qu'on en fait aprés qui pourrait le devenir.

Mon premier article fait, histoire d'avoir quelques visiteurs assez rapidement autant faire un article qui pourrait un peu plus interaisser.
Et autant prendre un sujet d'actualité histoire d'être trouvé par les moteurs de recherche.



J'ai toujours adoré regarder des funambules. Petite je les admiré quand j'allais au cirque avec mes parents et mes deux sœurs. Le fais de pouvoir marché sur un fil avec tant de grâce. Un fil si fin qui les maintient à la vie. Un faux pas et ils tombent, un faux mouvement et leur vie s'achèvent. Bien sur les funambules ne travaillent pas directement en hauteur et ils ont des filets de protections, cependant dans ma vision des choses il n'y a pas de filets.
Pourquoi je vous parle des funambules? Tout simplement parce que je trouve une certaine similitude entre eux et les personnes qui se blesse ou qui arrêtent de se nourrir.
Allez poser la question à un passant. Demander lui ce qu’il pense des gens qui se scarifie. Ils auront principalement tous la même réponse s’ils ne sont pas concernés par le sujet. Ils vous répondront que se sont des malades, des fous qu’il faudrait enfermer. Que se sont des sado-maso ou bien des satanique qu’il faudrait brûler. Ils ont tous des préjuger. Bien sur certains diront que chacun fait sa vie, seront indifferent et d'autre diront que c'est une souffrance. Mais la je parle de ceux qui en ont une vision trés negative et ne cherche pas a allé plus loin que leur pensées.
C’est pour cela que pour les personnes qui le pratiquent c’est difficile d’en parler. Et s’ils le font d’être compris. Les gens n’arrivent pas à comprendre qu’on souffre. Que c’est l’expression de notre souffrance. D’un côté c’est paradoxal. Comment expliquer que lorsqu’on se blesse (en se tailladant, brûlant ou frappant) ça puisse nous soulager ? C’est un mal qui nous enlève un autre mal. Il est plus facile de supporter une douleur physique plutôt que psychique. Tout le monde se dit un jour « je suis nul » d’avoir fait ou dit quelque chose qu’il regrette ensuite. Pratiquement tous ceux qui se blessent se le disent. Ils ne se voient pas à leur juste valeur. Je ne dis pas qu’il faille se prétendre le plus fort et le plus intelligent. Mais éviter de se sous estimer. On à tous en nous un force et une intelligence. Personne n’est parfait. Cependant lorsqu’on est pessimiste et qu’on part d’un point de vu défaitiste il est dur de réussir ce que l’on entreprend.
Pour en revenir à mes funambules et à ma comparaison, le fait de se blesser nous maintien entre la vie et la mort. La lame est notre fil. On se dit qu’on pourrait mourir avec une coupure un peu trop profonde. Le sang et quelque chose de précieux et de sacré. Si on se vide, on meurt. Pour ma part je me blesse parce que je n’arrive pas à vivre, mais je ne peux pas mourir. Au fond je survis. Idem pour les personnes qui refuse de s’alimenter. Elles poussent leur corps à la limite. Et le danger peu venir vite. En effet sans nourriture pour alimenter le corps et les organes vitaux, il est impossible de vivre. On dit que la vie ne tiens qu’à un fil, mais lorsqu’on à ce comportement de destruction, le fil deviens instable et beaucoup plus fragile. On a au dessus de nous, tout autour même, la mort qui plane et qui attend l’instant propice pour nous faucher et nous emporter avec elle.
Dans la mythologie on voit trois sorcières couper au hasard des fils, et tuer les gens qui sont relié à se fil. Mais est-ce un hasard pour nous ? Est-ce qu’au final, on ne l’a pas cherché ? Se blesser ou refuser de s’alimenter est l’expression de notre mal être. On ne cherche pas forcément à mourir mais on est conscient du risque qu’on encourt.
Pour moi le terme scarification ne signifie pas du tout la même chose qu’automutilation ou auto agression. En fait ça m'énerve un peu lorsqu'un psy balance le mot scarification... Ca ne veut rien dire enfin si ça veut dire mais dans le bouquin médical que j'ai chez moi voila la définition donnée :
Scarification=>Incision de l'épiderme, non sanglante, pratiquée lors des vaccinations ou en allergologie.
Donc si on se fit a cette définition, le terme automutilation pour définir le fait de se blesser volontairement est plus approprié.... Ok se n'est pas le mot qui change quelque chose mais....Scarification me reste en travers de la gorge parce que c'est le mot souvent employé pour les sataniques ou autre qui le fond pour le fun et compagnie, alors.... Non ! Je ne me scarifie pas, je ne trouve pas ça beau ou cool. Je veux dire pourquoi ne pas dire "vous vous êtes blesser" ou "c'été des blessures auto infliger" plutôt que scarification? C'est bête de m'énerver pour un mot mais je n’aime pas lorsqu'on dis que je me scarifie....
C’est peut être aussi de la faute des média, qui parle de sujet dont ils ignorent tout, du style toute ces émission sur les goth où ils font l’amalgame avec les sataniques, et le fait que bien sur ceux qui s’habille en noir sont suicidaire, triste et qu’ils se scarifie. En attendant pour moi le mot scarification à une signification péjorative, je l’utilise pour les personnes qui le font comme elles se feraient un tatouage ou un piercing, il y a de plus en plus de boutique d’ailleurs qui en fait et ça deviens à la mode. Donc se serait plus le terme utilisé pour l’esthétique (même si je ne voit pas comment on peut trouvé ça beau.) C’est pour ça aussi que ça me fait un peu criser se terme, parce qu’après les gens ne prennent plus le sujet au sérieux, ils se disent, pff encore un qui fait ça pour s’amuser ou autre phrase du style et ne vont pas faire la différence entre ceux qui le font pour l’esthétique et ceux qui le font parce qu’ils souffrent.
J’en profite pour glisser une petite définition de l’AM. En gros si on découpe le mot, auto signifie sois même et mutilation je pense que je n’ai pas à vous l’apprendre. Cela consiste à se blesser sois même. Et il existe de nombreuses méthodes. Que se soit en se coupant, brûlant, frappant (sois même ou contre un mur) en s’arrachant les cheveux … En se rongeant les ongles, se mordant et j’en passe. Il ne faut pas oublier que tout ça est dans le but de s’infliger une douleur.
Dans ses conditions, comment ne pas être considéré comme fou ? Mais d’un côté qu’est ce que la folie ? Est-ce le fait de ne pas être normale, de ne pas faire comme tout le monde ? Alors on peu se demander ce qu’est la normalité. Personnellement j'ai toujours détesté faire comme tout le monde. Etre comme tout le monde. Les gens qui font ça je l'ai traite de mouton. Car pour faire un monde il faut de tout. J’aime bien me mettre sur un banc ou sur l'herbe dans un parc pour observer les gens. On peu s'apercevoir qu'il y a vraiment toute sorte. Homme/femme. Grand/petit. Gros/maigre. Jeune/vieux. On trouve aussi tous les styles. Des classiques, des skateurs, aixois, ceux qui suivent la mode, des goth, des punks... Pourtant malgré tout ca les gens ne s'accepte pas s’ils ne sont pas de la même catégorie, du même groupe sociale. Pourquoi ça? Est ce que notre tenue, notre apparence, modifie notre intelligence? Ou notre façon de pensé ? Il y a un proverbe qui dit "l'habit ne fait pas le moine" ou encore "il ne faut pas se fier aux apparences." Nous sommes tous de la même espèce. Nous sommes tous des humains, avons un cœur qui bat, du sang rouge qui coule dans nos veines. En réalité les normes sont insérées dans notre société. Le terme fou ne signifie pas grand chose quand on y réfléchit bien. Par exemple pour l'AM, a l'époque où la médecine n'été pas développer on soigné les gens grâce à la saigner. Ils pensaient qu'en coupant une personne malade et en laissant couler son sang ils parviendraient à la guérir de sa maladie. On peut voir aussi qu'en Afrique, dans certaine tribu, les garçons pour passer à l'âge d'homme devaient subir un rituel. Le groupe de garçon qui avaient l'âge été réunit et on faisait un test à la douleur. On leur taillader le dos ou une autre partie du corps et le garçon ne devait pas crier. S’il y parvenait il était considéré comme un homme. Donc je reviens sur ma phrase, le terme fou ne signifie pas grand chose. On est fou par rapport à une société donnée. Car ce qui est normale dans une civilisation ne pourrait il être considéré comme pathologique dans l'autre? Et vice versa. En gros la folie n'est pas une maladie, elle est tout simplement une déviance par rapport à la norme sociale. Mais alors parce qu'on est en marge de la culture et de l'ordre économique, il faudrait nous enfermer ou nous couper de toute vie ? Est ce que c'est juste? De considéré la différence comme la folie?
Le pire c'est de juger sans chercher à comprendre ou même à écouter. On m’a souvent mise a l’écart, bien avant que j’adopte le style « goth » comme ils appèlent ça, même si je ne me sent pas spécialement « goth ». Ça à débuter au collège lorsque je suis allé sur Béziers, j’été a part car j’été blanche. Ensuite sur Aix j’ai réussi à me faire une amie en troisième, mais au lycée c’est redevenu pareil. Je ne parlais pas ou très peu, donc les gens me laisser dans mon coin. Certaines ne me regarder même pas et pour certaine fille je n’existais pas dans la classe, c’était l’ignorance total quand j’arrivais ou que je devais faire passé des feuilles. Ca fait quand même mal, même si on s’habitue. Sauf qu’on se demande se qu’on a fait pour être traité de la sorte. Je me dis que je suis humaine tout comme eux. Il est vrai que parfois mon style met des barrières, certaine fois je me dis tant mieux. Mais lorsque les gens apprennent a me connaître ils finissent par dire « je t’imaginer pas comme ça. » et oui je parle, je pense et j’ai des opinion. J’ai une vision qui ne s’arrête pas au bout de mon nez, à la différence de beaucoup.
On m’a fait une réflexion une fois, et ça m’a fait assez mal, c’été une amie au lycée qui été au courant de mes problèmes d’AM. C’est vrai que je n’avais pas été intelligente de le faire au lycée, mais ça avait été incontrôlable. C’était le lundi qui a suivis il me semble. Elle m’a dis : « T’es folle »Comme ça aussi direct. Je ne sais pas trop si c’était réellement pensé ou non, mais sur le coup ça m’a fait...waouh trop bizarre quoi d’entendre ça. Je n’ai pas pu contrôler certes, j’ai été stupide, je me suis blesser mais de la à dire ça… Je suis tout de même consciente de se que je fais, que se soit le mal autour de moi, sur moi, les problèmes dans lequel je me suis mise, je réfléchis parfois sur le sujet, j’essais de m’en sortir. Alors s’entendre dire qu’on est folle par une amie qu’on pensé proche… Comme je l’ai souvent dis du moins pensais, si je suis folle et que je le sais, alors suis-je vraiment folle ? C’est vrai d’un côté, celui qui est fou à proprement parlé, ne sais pas comment il est, il n’est pas conscient de son état. Un fou ne s’interroge pas. Tout ça me fais pensais à la notion de bien et de mal. Comment savoir au final. Puisque d’un coté se qui nous semble bien peut être vu comme mal par les parties opposé et vice versa. C’est en fonction de l’éducation, de l’endroit où on vit et d’un tas d’autres facteurs.


Au final qui somme nous pour juger ?