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21:23

Peut-on réelement lutter contre sa nature ?

J'été pas trop motivée pour remonté dans le nord, mai bon bien obliger, fin des vacances oblige...
Reprise des cours par le plus barbant, la legislation en psy...Barbant masi super important quand meme (que se soit pour la validation du module mais les stages en psy qui suivront...)






I. La psychiatrie de secteur:



Le territoire national est découpé en aires géographiques appelées « secteurs » ; Le secteur se définit par la mise à disposition d'une communauté géo-démographique d'un service public de protection mentale.

Le principe fondamental du secteur est le refus de la ségrégation du malade mental.



Cela implique de la part de l'équipe soignante une volonté d'intégration, de maintien ou de réintégration du patient dans son milieu familial social.



Le second principe est la continuité ses soins, la responsabilité en continu de la même équipe soignante pour toutes les phases de l'itinéraire thérapeutique.



Les modalités de mise en place



La circulaire du 15 mars 1960 relative au programme d'organisation et d'équipement des départements en matière de lutte contre les maladies mentales est le texte originel relatif à la sectorisation jusqu'en 1985.



Il s'agit de créer un dispositif adapté et efficace.



Les objectifs sont les suivants :

- traiter à un stade précoce,

- séparer le moins possible le malade de sa famille et de son milieu,

- assurer une post-cure évitant les hospitalisations multiples.


Les moyens nécessaires définis sont :



- une hospitalisation ne représentant qu'un temps de la prise en charge,

- des structures extra-hospitalières telles que les dispensaires d'hygiène mentale, les foyers et les ateliers protégés,

- une même équipe assurant le travail intra et extra-hospitalier.


La circulaire n°12 du 24 janvier 1969 relative à la bi-sexualisation des hôpitaux psychiatriques. « .les malades d'un secteur, installés dans des locaux séparés, selon le sexe, devraient être regroupés sous l'égide d'un même médecin-chef de service. »



L'arrêté du 14 mars 1972 fixe les modalités du règlement départemental de la lutte contre les maladies mentales, l'alcoolisme et les toxicomanies. La division en secteurs de psychiatrie adulte et infanto-juvénile est fixée par arrêté préfectoral.



La circulaire n°443 du 16 mars 1972 relative au programme d'organisation et d'équipement des départements en matière de lutte contre les maladies et déficiences mentales des enfants et adolescents définit de nouvelles orientations spécifiques. Elle sera complétée par la circulaire D 65 892 MS 1 du 9 mai 1974.



Prenant en compte les progrès en matière de psychiatrie infanto-juvénile et les différents types de prévention tels qu'ils ont été définis par l'Organisation Mondiale de la Santé, les textes mettent l'accent sur le diagnostic et le traitement précoce. Les modes de cure ambulatoires ou à temps partiels sont considérés comme prioritaires afin de maintenir l'enfant dans son milieu familial et scolaire dans la mesure du possible.



L'action de l'équipe doit s'inscrire en liaison avec la famille de l'enfant les différents services sanitaires, sociaux et éducatifs.



Pour la psychiatrie générale, la circulaire DGS891 MS 1 du 9 mars 1974 précise les normes minimales de personnels et leurs missions.



Le rôle et les attributions des membres de l'équipe médicale et para-médicales sont définis en fonction de :

- l'application des principes de permanence et de continuité des soins,

- la volonté de déconcentration et de diversification des pôles thérapeutiques
.

Les modalités d'équipement doivent être réexaminées, l'effort devant porter en priorité sur les structures extra-hospitalières.



La circulaire n° 896 AS 2 du 15 juin 1979 relative à l'accueil et aux urgences en psychiatrie. Elle précise que, quel que soient les modalités retenues, les objectifs à atteindre dans chaque département sont les suivants :



- réception des appels en permanence,

- intervention d'un psychiatre sur les lieux de la crise,

- transport et accueil des malades.


Les réformes intervenues depuis 1985



L'innovation thérapeutique en psychiatrie a connu en 25 ans un développement important. Cependant, si les activité de secteur se sont vues attribuer en 1960 et 1972 un cadre réglementaire, le problème de leur base juridique n'a été réglé qu'au cours du second semestre de l'année 1985.



Trois lois ont été adoptées :



La loi n°85-772 du 25 juillet 1985 - Article 8.1. Il modifie l'article L 326 du Code de la Santé Publique, donne un statut juridique au secteur psychiatrique en le définissant dans sa double dimension intra et extra-hospitalière. 25 ans après la circulaire de 1960, le secteur reçoit une base légale. Cette loi institue un conseil départemental de la santé mentale qui est chargé de donner des avis et de faire des propositions en matières d'organisation et de planification.



La loi n°85-1468 du 31 décembre 1985 relative à la sectorisation psychiatrique intègre les secteurs dans la carte sanitaire générale (art. 1 et 2).



Chaque établissement hospitalier public, Centre Hospitalier Spécialisé ou Centre Hospitalier Général, participant à la lutte contre les maladies mentales est responsables de celles-ci dans les secteurs psychiatriques qui lui sont rattachés. Il est chargé de gérer directement l'ensemble des activités intra et extra-hospitalières (Art.3).



L'article 4 modifie l'article L 326-2 du Code de la Santé Publique. Cette nouvelle rédaction abroge l'article 1 de la loi de 1838. Désormais les patients en placement d'office et en placement volontaire peuvent être hospitalisés soit dans un CHS soit dans un service de psychiatrie d'un Centre Hospitalier Général.



L'unification du financement. La loi de finances de 1986, en son article 79, prévoit que les dépense de lutte contre les maladies mentales exposées au titre de l'article L 326 du Code de la Santé Publique sont à la charge de l'assurance maladie à compter du 1er janvier 1986. Ce nouveau financement qui est assuré sous forme de dotation globale, met fin aux cloisonnements antérieurs entre les activités intra et extra-hospitalières.



Quatre textes complètent les dispositions de ces lois :



Le décret n°86/602 du 14 mars 1986 relatif à la lutte contre les maladies mentales et à l'organisation de la sectorisation psychiatrique institue :



- les secteurs de psychiatrie infanto-juvénile pour les enfants et adolescents correspondant à une aire géographique desservie par un ou plusieurs secteurs de psychiatrie générale,

- les secteurs de psychiatrie générale répondant aux besoins de la population âgée de plus de 16 ans,

- les secteurs de psychiatrie en milieu pénitentiaire répondant aux besoins de santé mentale d'une population incarcérée dans les établissements d'une région pénitentiaire. Ces secteurs sont rattachés à un établissement hospitalier public et comportent, en particulier, un service médico-psychologique régional aménagé dans un établissement pénitentiaire qui peut assurer en outre une mission de lutte contre l'alcoolisme et les toxicomanies.


Il définit les fonctions et la composition du Conseil Départemental de Santé mentale.



Il prévoit l'organisation technique du service public de lutte contre les maladies mentales et de la sectorisation psychiatrique :



- Art.8 : Chaque établissement assurant le service public hospitalier auquel sont rattachés un ou plusieurs secteurs psychiatriques est responsable de la lutte contre les maladies mentales dans ce ou ces secteurs.

- Art.9 : La prévention, le diagnostic et les soins prévus à l'article L.326 du Code de la Santé Publique et à l'article 4 de la loi du 31 décembre 1970 modifiée sont assurés notamment :

o Dans des services spécialisés comportant ou non des possibilités d'hébergement total, d'hébergement de jour ou de nuit,

o A la résidence des patients,

o Dans les établissements sanitaires, sociaux ou médico-sociaux où résident les patients,

o Par les séjours thérapeutiques temporaires,

o Par des actions d'information auprès de la population et des professionnels concernés.

L'arrêté du 14 Mars 1986 relatif aux équipements et services de lutte contre les maladies mentales comportant ou non des possibilités d'hébergement énumère et définit :



- Art.1 « les équipements et services ne comportant pas d'hébergement

o Centre médico-psychologique

o Centre d'accueil permanent

o Hôpitaux de jour

o Ateliers thérapeutiques

o Centre d'accueil thérapeutique à temps partiel

o Services d'hospitalisation à domicile. »



- Art. 2 « Les équipements et services comportant l'hébergement

o Unité d'hospitalisation à temps complet

o Centre de crise

o Hôpitaux de nuit

o Appartements thérapeutiques

o Centre de post- cure

o Services de placement familial thérapeutique. »



Le Guide de planification en Santé Mentale (circulaire n°57-80 du 21.12.87), conçu à la fois comme un outil pratique et méthodologique, repose sur les quatre principes suivants :



- faire dépendre les choix à moyen terme d'une analyse précise des objectifs sanitaires poursuivis localement en cohérence avec les objectifs nationaux de la sectorisation psychiatrique et prenant en compte les besoins spécifiques des populations au niveau local,

- étudier les transformations dans la globalité de leurs incidences, tant au niveau des personnels que des équipements , des investissements que des dépenses de fonctionnement, en psychiatrie comme dans l'ensemble du champ sanitaire et du secteur médico-social,

- réaliser une véritable « planification de reconversion ». En effet, il s'agit de restructurer un pôle d'hospitalisation surdimensionné par rapport aux besoins réels,

- concevoir une démarche de concertation, associant toutes les parties concernées par les projets de transformation du dispositif existant, sous des formes à définir en fonction des réalités locales.



La circulaire du 14 mars 1990 relative aux orientations de la politique de Santé Mentale (J.O du 3 avril 1990) définit les buts et les principes de la politique de santé mentale. Ce texte actualise la réforme de l'organisation et du financement de la psychiatrie publique intervenue en 1985 et 1986.





II. LE MALADE MENTAL



loi du 3 janvier 1968 portant réforme du droit des incapables majeurs institue trois régimes de protection applicables aux incapables majeurs. La législation à mis en place un système permettant l'individualisation des mesures de protection. Le but recherché est d'adapter la mesure de protection à la nature et à la gravité réelle de chaque cas.



Les régimes de protection institués sont les suivants :



La tutelle :


La tutelle intéresse les incapables qui ont besoin d'une représentation permanente dans les actes de la vie civile(mariage, divorce, achat ou vente de propriétés). C'est le tuteur qui décide tout, via le conseil de famille pour les choses importantes. Il y a également perte de droit de vote et de l'usage du chéquier, etc. c'est le régime d'incapacité le plus complet .



Pour une mise sous tutelle, comme pour une mise sous curatelle, il faut un certificat d'un psychiatre expert inscrit sur une liste du Tribunal de Grande Instance, après avis pris auprès du médecin traitant. Ensuite, le Juge des Tutelles, après l'examen du dossier (souvent très long) et audition du malade (enquête familiale et sociale) accorde ou non la mise sous tutelle. Le représentant est désigné par le juge. En général, il s'agit du conjoint, sinon les ascendants, descendants, les frères ou les sours. Ce peut être également une personne étrangère ou une association, sous le contrôle du juge. La rémunération du tuteur ou du curateur se fait sur l'argent qu'il gère.



L'arrêt de la tutelle comme la curatelle se produit au décès de la personne protégée ou par un nouveau jugement selon la même procédure que pour l'ouverture.



La curatelle :

La curatelle est un régime d'incapacité partielle et concerne les majeurs qui ont besoin d'être conseillés ou contrôlés dans les actes de la vie civile, il s'agit d'une assistance. La personne garde le droit de vote, son chéquier, mais ses actes sont sous contrôle d'un tiers.



La sauvegarde de justice :

la sauvegarde de justice, mesure totalement nouvelle, n'entraîne pas d'incapacité. Le malade peut continuer à gérer ses biens ou se faire assister. La sauvegarde existe pour les personnes dont certains actes outranciers peuvent être prévenus ou remis en question, annulés ou réduits par excès (par exemple : achats abusifs en crise maniaque ou report de grosses factures payables durant la maladie.



C'est en général l'entourage qui fait la demande via le médecin. Si la personne n'est pas hospitalisée, le certificat du médecin traitant et le certificat d'un médecin psychiatre sont nécessaires. Si par contre la personne est hospitalisée, le médecin chef de service est responsable de la démarche.



Dans cette mesure, il n'y a pas de représentant. L'inscription est faite au greffe du Tribunal de Grande Instance, parfois même à l'insu du malade, d'autant plus quand on sait que la crise va se résoudre. La durée d'un mise sous sauvegarde de justice est de 2 mois, pouvant être prolongée jusqu'à 6 mois, temps nécessaire également pour une mise sous tutelle ou curatelle.



La loi n°90-527 du 27 juin 1990 relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs conditions d'hospitalisation (J.O. du 30 juin 1990) modifie la loi du 30 juin 1838. Elle énonce le principe que l'hospitalisation libre est la règle, l'hospitalisation sur demande d'un tiers ou d'office devant être l'exception.



- l'article 1 modifie le premier alinéa de l'article L 326 du Code de la Santé Publique : « La lutte contre les maladies mentales comporte des actions de prévention, de diagnostic, de soins, de réadaptation et de réinsertion sociale »,

- L'article 2 intitulé « Organisation générale de la lutte contre les maladies mentales et des droits des personnes hospitalisées en raisons de troubles mentaux », précise que l'hospitalisation libre est reconnue légalement et désormais considérée comme cas général ; la personne consentante « dispose des mêmes droits liés à l'exercice des libertés individuelles que ceux qui sont reconnus aux malades hospitalisés pour une autre cause ».

Les droits des malades hospitalisés sans leur consentement sont précisés. Au cours de l'hospitalisation d'une personne sous contrainte, « les restrictions à l'exercice de ses libertés individuelles doivent être limitées à celles nécessitées par son état de santé et la mise en ouvre de son traitement. En toute circonstance, la dignité de la personne hospitalisée doit être respectée et sa réinsertion recherchée ».



Tous les malades doivent pouvoir communiquer avec les autorités habilitées à visiter les établissements de soins ( Préfet, Procureur de la République, Juge du Tribunal d'Instance, Maire) ; saisir la commission départementale des hospitalisations psychiatriques, prendre conseil d'un médecin ou d'un avocat de leur choix, consulter le règlement intérieur des établissements, émettre ou recevoir des courriers, exercer leur droit de vote, se livrer à des activités religieuses ou philosophiques de leur choix.



Les articles L327 à 330 prévoient la possibilité de placement du malade sous sauvegarde de justice et la constitution d'une tutelle ou d'une curatelle pour la personne hospitalisée.



- L'article 3 du chapitre 2 traite des établissements habilités à soigner des malades mentaux, de leur règlement intérieur, des missions et de la composition des commissions départementales des hospitalisations psychiatriques.

- Au chapitre 3 sont indiqués les « modes d'hospitalisations sans consentements dans les établissements » :

le placement volontaire devient hospitalisation à la demande d'un tiers (H.D.T),

le placement d'office devient hospitalisation d'office (H.O.),

la sortie d'essai, légalisée, comporte une surveillance médicale ; elle est instaurée afin de favoriser la guérison, la réadaptation ou la réinsertion sociale des personnes hospitalisées en H.D.T. ou H.O.,



un suivi médical régulier est instauré, aussi bien pour les H.D.T. que pour les H.O. Les certificats médicaux sont adressés par le directeur de l'hôpital au Préfet, à la commission départementale des hospitalisations psychiatriques, au Procureur de la république.



Les principales modifications apportées par la loi sont les suivantes :



Hospitalisation à la demande d'un tiers :



Troubles qui rendent impossible son consentement et son état impose des soins immédiats assortis d'une surveillance constante en milieu hospitalier, soit l'H.D.T. Cela peut être la famille, l'entourage, l'employeur, ou tout autre personne susceptible d'agir dans l'intérêt du malade, qui fait cette demande, par le biais d'une lettre manuscrite.



Avec cette demande d'hospitalisation manuscrite, datée et signée par la personne qui la formule, deux certificats médicaux circonstanciés doivent être établis et concordants. Les deux médecins psychiatres ne doivent pas avoir de lien de parenté ni entre eux, ni avec la personne qui fait la demande.



Ensuite, il faut un certificat médical circonstancié au bout de 24 heures, établit par un autre psychiatre. Puis un autre certificat au 15èm jour d'hospitalisation, puis tous les mois.

Proposition, si le patient va mieux, de la levée d'H.D.T.



Hospitalisation d'office :



Troubles compromettant l'ordre public ou la sécurité des personnes. La procédure est réalisée comme précédemment par décision administrative, soit directement par le Préfet, soit à titre provisoire par le Maire ou un commissaire de police.



L'arrêté d'Hospitalisation d'Office est prononcé au vu d'un certificat médical circonstancié, il est « motivé et énonce avec précision les circonstances qui ont rendu l'hospitalisation nécessaire ».



Les mesures provisoires tombent si elles ne sont pas confirmées par l'autorité préfectorale dans les 48 heures. Les décisions préfectorales sont caduques si , au delà de certaines périodes fixes, de nouvelles décisions prolongeant l'hospitalisation ne sont pas intervenues.



L'article 4 du chapitre 4 prévoit une évaluation au bout de cinq années établie sur la base des rapports des commissions départementales des hospitalisations psychiatriques.

Je cherchais un livre de cours tout a l'heure, d'ortho et rhumato, histoire de me mettre a jour pour le rattrapage, ya des petit bouquin super pratique avec juste des fiches donc juste le principal ^^ ça aurait été pratique pour moi...
Enfin j'ai pas trouvé... J'ai cherché dans le parascolaire a virgin, et après rayon santé, je suis allé voir au cas ou dans la grande surface, il y avait de maternelle a lycée, pour les concours et autre mais pas pour études sup... Dans le rayon santé il y avait le dictionnaire médical, encyclopédie, truc sur les médicaments,mais rien de plus...
Mais c'est marrant tout les livre de psy et medecin qu'on peu trouvé dans le rayon bien être...
De la maternité a la vieillesse, yen a pour tout...
Comment etre enceinte, comment etre en forme pendant la grossesse, le carnet de bébé, le prenom de bébé, le livre du papa, élever son enfants, les premier pas...
Il y a aussi l'adolescent, comment les parents doivent parlé, le guide pour l'ado et ces parents, la crise d'ado, les ado qui vont mal, les ado qui maigrissent trop vite...
D'autre aussi sur l'alimentation, comment manger, quoi manger, comment maigrir...
D'autre encore sur la confiance en soit, vaincre la peur, vaincre la timidité, surmonter l'angoisse, arriver a dire non, le regard des autres, apprendre a aimer la vie, certains sur les personnes toxique (les agressif, manipulateur, amour toxique et autre)...
D'autre aussi pour arreter de fumé, avoir une meilleur hygiéne de vie....
D'autre enfin sur la sexualité, 365jours de sexe, sur la libido, ce que veulent les hommes, le sexe dans le couples, les célibataires...



Tout ça grâce au docteur bidule, professeur machin, au psy XY et autre...



Bref ...



Il y a vraiment tout les sujets...Toutes les questions, franchement il y a réponses a tout...
Dans tout ca on se demande bien a quoi servent encore les psy et médecins...
Ou peut etre que d'un coté les gens se posent trop de question aujourd'hui, ben oui avec tout ca! ils vont tout de suite se dire qu'ils élèvent pas leur gosse comme c'est noté dans le livre, qu'ils vivent pas comme c'est expliqué dans l'autre, qu'ils s'identifie a bidule qui a cette pathologie...

Je me demande si c'est vraiment une bonne chose, après tout chacun et comme il est pas besoin d'un bouquin pour apprendre a vivre ou élever son gosse...
Notre vie n'est pas vraiment sur un bouquin ou sur internet...

L'état de ma sœur m'avait donné envie de faire un petit topic sur cette maladie. Son médecin a fait n'importe quoi avec son traitement, se n'est pas adapté, mal dosé et autre,donc au final sa lui crée des troubles bipolaires...Déjà qu'elle est plus ou moins lunatique a la base, mais la c'est la total...Enfin, depuis peu il lui a filer un autre truc ça va un peu mieux pour elle....
D'un coté ça me fait réviser un peu mes cours...




Définition:
Le trouble bipolaire ou maladie maniaco-dépressive est la survenue répétée dans le temps de syndromes dépressif et/ou maniaque.


Epidémiologie:
la prévalence sur toute la vie pour les troubles bipolaire serait d'environ 1%


Etiologie:
Comme pour la dépression, l'origine des troubles bipolaires et complexes. Il y aurait des facteurs génétiques, biologiques, endocriniens et psychologique.


Diagnostic:
Le diagnostic se fait après la survenue d'au moins deux épisodes dépressifs et/ou maniaque séparés d'un intervalle libre de toute symptomatologie.
Il peut survenir un état mixte. On observe alors des symptômes dépressifs et maniaque en même temps.


Traitement, comprendre les prescriptions:
Le traitement est celui de la dépression ou de la manie pendant l'épisode dépressif ou maniaque.
Le traitement de fond repose sur les thymorégulateur et sur la psychothérapie.
Comme pour toutes les affections chroniques, il est essentiel que le patient comprenne sa maladie, l'importance du traitement, connaisse les signes avant-coureurs d'une rechute maniaque ou dépressive (le trouble du sommeil est souvent le premier)
Il existe deux classes de thymorégulateur: le lithium, médicament de référence, et les thymorégulateurs anticonvulsivants qui nécessitent moins de surveillance.

Petit passage vite fait en attendant que mon copain finnisse de se préparé...Il parle mais bon, il est pire que les filles par moment, encore ca va il a pas trop chipoté pour savoir quelle tenue il allait mettre ]:)
On va au concert de Nightwish se soir, enfin je verrais bien se que ca donne le nouveau groupe...

Je passais pas trop pour parler de ça de toute façon...
Dés le débu de mes vacances (le deuxieme jour je crois) ma soeur ma légérement harceler, elle me raconte l'histoire d'une de ces amie qui s'est fait mettre un anneau pour maigrir et qui a pu faire passé l'opération comme "chirurgie répartrce" donc prise en charge par la sécu et tout, et que je pourrais fair pareil pour les cicatrices, en voyant un généraliste, dérmato et aprés psy pour dire que ca a des réércution pourmon boulot, vie sociale et autre...
Bref, donc mercredi matin a peine je me léve qu'elle me fou le téléphone sous l'oreille avec le numéro du médecin qui appel
...
J'aurais pu le faire seule déjà, et en plus qui lui dis que je voulais celui la ??
J'ai un rendez vous dans l'aprés midi, en fin de journée...
Je me suis meme pas préparer pour savoir quoi dire...
J'explique vite fait, que c'été juste pour savoir par rapport a ertaines cicatrices que j'avais, pour essayé de ls atténuer voir effacer, pour savoir s'il exister un traitement, opération ou autre...
J'essais d'être bréve quand meme...Je vais pas non plus lui raconter ma vie...
Il me fait passé dans la salle a coté, j'apprécie pas vraiment d'enlever es mitaines et montré mes avant bras..."hum ma pauvre" ouais yen a beaucoup je sais...
Il regarde, soupir me dit que les laser et autre ca serviraient a rien, qu'il y a beaucoup trop d lésion pour, qu'en plus il y avait des risques cancérigéne et que ca pouvait meme faire d'autre lésion.
Que les crémes et traitement c'été inutile aussi...
L'opration, hm hm...Peut etre voir avec un chirurgien plastique, mais mieux vaut chez moi dans le nord...Mais que bon, vu qu'il y en a pas mal autant ca fairait autant de marque, mais a voir au cas ou pour etre sur des traitement...
Qu'au pire il y avait de bon fond de tein, mais bon j'ai déjà tester et vu que j'ai la peau trés pale quand meme ca fait effet jaunisse... ou alors tester des auto bronzant...Mouais mouais...

Bon il a éé super sympa quand meme...
Aprés il a un peu parlé, savoir pourquoi je les cacher, que je garder mes mitaines...
Puis m'a expliquer par rappot au boulot que les questions il y en auraient toujours... Que je devais me faire une réponse toute faite, quitte a inventer mais histoire de pas hésiter ni rien, qu'on voiye que se soit du passé et tout le reste...
Que ca fait partit de moi d'un coté et autre...

Mouais...
D'un coté c'est sur qu'il faut que j'accepte...
Je l'ai fait pendant mon deuxiéme stage, meme si j'ai eu des questions, des regards et autre, ca me poser pas plus de soucis que ca...
Mais de la a me balader en debardeur dans la rue, sans mitaine ni rien...Hm hm...Faut pas pousser non plus...
Je pourrais dire que je les assume (plus ou moins) pendant mes stages (du moins le dernier) mais aprés dans la vie de tout les jours...'est pas trop ca, encore moins avec mes proches et amis, meme s'ls sont au cournt je me voit pas trop....

Cette aprés midi j'avais le choix entre l'inteligence et la superficialité, ma soeur ma un peu pousser et au final j'ai opté pour la superficialité...Me suis acheter une teinture (oui oui on s'en fou je sais)
Mais c'est peut etre ca qui fait qu'au final c'est la troisiéme fois (au moins) que j'écris un semblant d'article, et n'appuis pas sur "enregistré" avant de tout quitter ou partir ailleurs -_-'
Hum hum...
Il faut dire que depuis que je suis descendu dans le sud j'ai pas trop le temps de me poser un petit peu et consacré un minimum pour le blog (facon rare sont ceux qui passent alors bon...)
Ca sera un répis par rapport au pavet que j'ai écrit juste en dessous...
J'ai quand meme eu quelques idées d'article mais se sera pour plus tard ^-^

Demain c'est mon dernier jour...
Enfin!
J'ai tenu bon, d'un coté ca se passait assez bien, une assez bonne ambiance dans l'équipe, malgrés quelques uns, mais comme une été infirmiére et boss pas avec les éléve et que l'autre travailler tout le temps dans le secteur sud, ca allait a peu prés...
J'aurais ma note de stage demain, s'ils ont finit de tout remplir...
Quelques petits truc de revoltant quand meme pendant se stage...
Alors autant a la MSP on me fait la reflection que je communique pas, que je prend pas en compte la souffrance de la patiente, que je fais juste mon soin et rien de plus, que je suis soit disant trop brusque et bla bla bla...
J'en ai vu des AS brusque...
J'en ai entendu des choses qui prenait pas en compte la souffrance...
Quelques exemples:
Un patient qui viens d'arriver du service d'éveille...
Sa mére ne veut pas qu'on mette de change (ou couche pour utiliser le terme)
Donc on en met pas, enfin une AS en avait mis une un matin, ne savant pas s'il en fallait ou pas, et la mére a crisé le soir en voyant ca et est allé se plaindre a la surveillante, qui nous a donc interdit de mettre des changes, on doit mettre le patient sur les wc a peut prés toute les 2h, parce que le probléme c'est qu'il ne sent pas quand il urine, ni quand ca va venir, ne pourra donc pas sonner pour qu'on le mette sur les wc...
Et ca, ca c'est embetant, parce qu'on a pas le temps voyons, alors que ca prend pas 1h non plus, 10min a tout casser ...
Donc ils ralent, disent que la mére est chiante, harcelante et autre...
Autre exemple...
Une patiente cette fois, soit disant elle est soulante et exigente (d'aprés l'autre 1ere année) moi je la trouve super sympathique cette patiente, on a discuter un peu tout a l'heure d'ailleurs, une des seul a qui je parle sans soucis, dela pluie du beau temps mais c'est pas grave ^^
Bref!
Cette patient un aprés midi sonne, j'y vais, et elle me demande si je peu la changer car elle sent qu'elle a fait dans sa protection, je prend le chariot, le léve malade et je lui dis que je vais cherché un collégue pour m'aider...
Ils sont en pause, je part a l'office personne, je descend donc dehors car je sais qu'ils sont allé fumer, bref...Je leur dit, ils disent ok...
Finissent leur clope, remonte dans la cuisine, se boivent un café, me disent de m'asseoir, je leur dis que je préfére etre debout et leur rappelle la patiente qui a demandé qu'on la change...Et qu'est se que j'entend: "oui oui, on ira au tour d'aprés"...
On a donc changer la fille 45min aprés, sympa quand meme...
Et aujourd'hui rebelote...
C'est ma pause déjeuner, je raméne une patiente dans sa chambre et l'éléve 3éme année la patiente citer juste au dessus.
Je finis et cherche la 3éme année, comme l'autre chambre est plus loin je me dis qu'autant elle y est encore, j'y vais, personne juste les 2patientes, et la jeune me dis qu'elle croit avoir fait dans sa couche (et pas uriner) et voudrait qu'on la change.
Je lui dis que je vais prevenir les AS soignants, mais que vu que c'est la pause déjeuner je doute qu'ils se dépéchent...
Je vais donc leur faire la transmission, ils me disent ok va dejeuner, et aprés j'entend "de toute facon elle peu bien attendre 14h la reléve et la tourné d'aprés midi...
Sauf que la reléve est a 13h30, que la tournée d'aprés midi commence aprés leur pause a 14h30 au moins, et que la il est 12h30, elle devra donc attendre prés de 2h dans sa propre merde !!!
Enfin quand je suis partit elle été dans les couloirs et changer je crois...

Mais je me doute qu'ils s'imaginent se que ca peu faire que de baigner dans sa propre merde ou urine, surtout quand on en est conscient...
Je dis pas on ne peut pas y allé toute les 10min non plus...Mais au moins quand on le demande...
Vous savez se qu'on m'a dit un aprés midi pour ca?
Que c'été quand meme des couche bien absorbante, fait pour ca, donc d'un coté qu'on pouvait laisser le temps d'absorbation, que c'est crée pour et penser a l'économie...Surtout la nuit voyons se sont des couches super +
Certains délires peuvent etre drole, dans d'autre circonstance celui la l'aurait été.
Sauf quand on pense au risque lié a la massération, els infections urinaire, les escarres et autre...
Un autre exemple...
Un patient assez jeune aussi, avec une poche relié a l'intestin (c'est donc dans cette poche où vont les selles pour explication) sympa comme patient, je discute bien aussi avec en plus c'est un de mes 3patients dont je doit m'occuper...
Bref, il est sympa et m'a expliqué pas mal de truc au début, pour ses coussins au pieds, son fauteuil, la position et tout... ^-^
C'est vrai qu'il est un peu exigeant, un peu raleur parfois, qu'il sonne pour tout et pour rien...Mais d'un coté je me dis que s'il le faisait pas on l'aurait vite oublier...
Se matin j'aide la 3éme année pour la toilette de sa patiente, un cas assez lourd et impossible seul... Vu que j'ai les meme patient que l'éléve infirmiére, on m'en a donnée 2autres, un qui fait tout seul (sauf le dos et les pieds) et un autre qui aide quand meme pas mal (celui d'ailleurs du tout premier exemple)
Bref!
Donc je l'aide vu que j'ai finis avant...
On tock a la chambre me dit qu'on me cherche, que mon patient a renversé son petit déjeuner et que me demande si quand j'aurais finis ici je pourrais allé changer les draps.
Je leur dit pas de soucis, on finit la patiente, ca nous prend bien 20min depuis...
Je finis, traverse le secteur sud part au nord dans la chambre (en passant pas la salle de bain pour récuperer des draps, oreiller et alése) bref...
J'arrive, il a du lait au chocolat partout sur le coté, le lit, l'oreiller, il a du nettoyer son ventre je pense, son pansement est un peu tacher mais ca va...
On discute bien pendans que je lui change le lit, il m'aide bien aussi parce qu'il peu pas se lever comme ca...
Je sais pas combien de temps il est resté comme ca, a trempé plus ou moins dans son chocolat, on discute, il me dit qu'il deteste ca, que ca pegue, que c'est deguelasse, je le comprend... On rigole un peu en disant qu'heureusement c'est pas de la merde...
Mais d'un coté c'est abusé, ok c'est mon patient, mais j'été occuper avec une autre, ca m'a prit 10min a tout cassé a moi toute seul, alors bon, ca les auraient pas tuer de se mettre a deux pour le changer, enfin je sais pas...
Se meme patient a été souvent malade depuis vendredi dernier.
Depuis qu'il est revenu de chir'
Vu qu'il a une poche a l'intestin, il a un régime spéciale, du moins pas mal d'aliment qu'il doit eviter.
Il a 22ans alors bon...On peu comprendre que se soit dur pour lui. Surtout qu'il y a une sacré liste, pas de choux, pas de salade, pas de chips, pas de soda, pas de pain, pas de crudité, pas de ci pas de ca, bref! Une sacré liste...
Il a été en chir parce qu'on a décalé la localisation de la poche, et la bas le chirurgien a dit qu'a présent il pourrait manger se qu'il voudrait.
Ca semble logique alors de profiter et se dire chouette je vais enfin pouvoir remangé se que j'aime et qui m'été interdit avant...
Sauf que voila, en fait il pouvait pas vraiment manger se qu'il voulait.
Et a été super malade depuis vendredi (enfin aujourd'hui ca allait mieux), mais bon vendreid il vomissait vert (et je déconne pas)...
Donc malade a vomir que de la bile, a pas pouvoir s'alimenter et tout le reste, c'été pas forcement agréable, pour lui comme pour nous.
Ca lui ai arrivé pas mal de fois de sonner et me dire "j'ai vomit" et aprés, je vais pas lui dire "ouais et alors qu'est se que j'y peux" je vide sa basine rince, lui redonne des mouchoir et basine a dispo et voila...
Mais pour certain c'est chiant.
Aprés je fait mes transmission...
Le vendredi l'inf été passé lui donné le traitement...Il vomit juste aprés, je vais lui dire vu que j'y été encore, juste prévnir pour le traitement qui a été recraché et tout, je sais plus exactement se qu'elle m'a sortit, mais un truc sur le ton du "qu'est se que ca peu me faire"
Aprés beaucoup de bla bla sur cette épisode, soit disant que c'est la faute du jeune, qu'il fait n'importe quoi, bouf n'importe quoi et tout, mais il faut le comprendre un peu...
Quand je disait qu'il avait pas dejeuner ou bien pris 2biscottes mais vomit peu de temps aprés on me disait que de toute acon il bouffé plein de cochonnerie dans sa chambre qu'il fallait pas m'inquiété qu'il mange pas de le service...Que c'été de sa faute...Ok peut etre, ok il a manger des frite froide dans un sandwich une fois et a été malade comme un chien, mais il a compris la leccon, c'est con d'en arrivé la pour qu'il comprenne qu'il doit pas faire d'excés dans son régime ni n'importe quoi, mais il a eu une mauvaise periode et a compris se qu'il pouvait manger ou pas...
Il y a aussi cette patiente, qui s'est fait opéré d'un ostéome et qui a un escarre au sacrum (escarre qu'elle a eu a Amiens dans un autre service)
Elle pleur beaucoup des qu'on la manipule, certaine fois a peine on touche sa jambe qu'elle hurle et se met a pleurer...
Ben oui mais elle a mal, c'est pas un truc anodin non plus...
Une fois on al levé avec le léve malade, c'est pas forcement pratique... les sangle tire sur les jambe, et elle est assise donc au niveau de l'escarre pas top...
Elle a hurlait une fois dans les air....
Tout se qu'ils ont trouvé a dire c'est "oh non mais ca suffit maintenant arreter un peu on vous fait rien"
Une fois au fauteuil ca s'est calmé...
Meme patiente qui a sonner une fois, c'été juste aprés le repas des patients et avant notre pause déjeuner...
Ca sonne, je vais voir...
Elle voulais juste que je lui passe la télécommande qui n'été pas a sa porté de main, un truc tout con, sans forcement d'importance, mais qu'elle ne pouvait pas faire.
Je lui passe donc, remet a sa porté la sonnette, le bouton pour lever ou descendre le lit, et son gobelet d'eau...
Je repart...
A l'office on me demande qui c'été, j'explique et on me dit "elle sonnait juste pour ca" Ben oui juste pour ca! Sauf que c'est frustrant d'etre dans son lit devant un chaine sans pouvoir changer, sans forcement aimer, elle a que ca comme activité pour le moment, alors oui juste pour ca, autant pensé un peu au confort du patient...
C'est un petit truc de pas grand chose, mais pour eux ca fait beaucoup...!
Il y aurait surement pas mal d'autre exemple, mais c'est déjà bien la tout ca...
En y pensant je me dis qu'on en peu pas etre revolter par rapport a tout ca et ne pas savoir faire preuve de relation humaine, compassion et tout le reste...
Même si j'ai du mal a communiquer j'ai mes principes, ok on est peut etre overbooker, exploité, sous payer pour se qu'on fait, mais bon, parfois ya des petit truc qui prenent pas 100ans et qui sont agréable pour la personne...
Je sais que la c'est pas grand chose par rapport a se que je verrais surement a d'autre stage...
Mais meme si je me lance dans cette formation je compte pas oublier le respect de la personne, de la dignité, la pudeur, l'écoute, et d'autre chose, si j'en viens a oublier les choses basiques, autant changer de cap direct...

Je met des points d'exclamation si je veux!
Je m'enerve si je veux!
[Petit message perso dont personne comprendra le sens, ou pas...]
Bientot la fin de la semaine...
Bientot la fin du stage...
Bientot les vacances...
Fiou, fiou, ca va faire du bien tout ca ^-^
J'avais pas spécialement envie de parler en fait ^-^"
Un nouvel article alors juste pour ne rien dire, ou pas...
De toute facon rien est inutile, il y a toujours un truc d'interaissant...Mouais, mouais, si on le dit...
Humeur du moment, bof...
Bof pour la motivation, les envies et tout le reste...
Et j'ai pas envie d'en parler spécialement...
J'ai le droit d'allé "bof" et de pas a avoir à m'expliquer du pourquoi, du comment du a cause de quoi et patati et patata...

Je sais toujours pas si je vais finir l'année ou pas...
Enfin la finir, je vais la finir forcement (quoi que...fiou fiou...)
Mais bon, je sais pas...
Je suis dans un entre deux... oui, non, peut etre, je sais pas, bref, compliqué...
Je suis sur un fil, quoi que j'ai l'habitude, quoi que la c'est pas le bon terme celui du fil, quoi que peut etre que si...
Je m'accroche lamentablement dira t-on...Si je tiens bon ca va, si je tombe...ca va plus, logique non?
Enfin bon...
Je verrais bien...
Je suis pas sencé me prendre la tete sur ca... Mais comment je pourrais pas me prendre la tete dessus? C'est pas non plus un truc de futile ni d'anodin, ni quelque chose fait sur un coup de tete ni rien...
Donc compliqué quand les pensées fusionnent...